L’ONU préoccupée par le changement «fondamental« de la politique des États-Unis

– Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme, s’est dit préoccupé lundi du changement fondamental de politique pris par les États-Unis depuis le retour au pouvoir de Donald Trump, ont rapporté les médias internationaux.
«Je suis aujourd’hui profondément préoccupé par le changement fondamental de direction qui s’opère au niveau national et international», a déclaré Volker Türk.
Dans son discours devant le Conseil des droits de l’homme, analysant de façon détaillée la situation dans le monde, Volker Türk a déploré le contrôle et l’influence qu’exercent des oligarques de la technologie non élus.
«Nous avons bénéficié du soutien bipartite […] en matière de droits humains pendant de nombreuses décennies, grâce à la générosité et à la compassion du peuple américain», a-t-il soutenu.
Sans nommer le président américain, Volker Türk souligne que « de manière paradoxale, les politiques destinées à protéger les personnes contre la discrimination sont désormais qualifiées de discriminatoires » tandis que « les progrès en matière d’égalité de genre sont réduits à néant ».

L’Ukraine annonce sa nouvelle politique de coopération avec ses allies européens

Ces positions seront présentées à nos partenaires américains», a déclaré Volodymyr Zelensky.
«La priorité est de parvenir à une paix solide et durable, et (à un) bon accord concernant la fin de la guerre», a-t-il indiqué.
Volodymyr Zelensky se dit prêt à signer l’accord sur les mineraisPar ailleurs, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est redit prêt à signer l’accord sur les minerais si toutes les parties sont prêtes.
C’est dans ce contexte que les alliés européens de l’Ukraine ont tenté de reprendre l’initiative.
«Il s’agit d’une trêve dans les airs, sur les mers et concernant les frappes sur les infrastructures énergétiques.

Mines : le gouvernement congolais appelé à exiger l’exécution des cahiers des charges (une organisation internationale)

Kinshasa, 3 mars 2025 (ACP).- Le gouvernement congolais a été appelé à exiger l’exécution de cahiers des charges avant l’octroi des titres miniers en République démocratique du Congo, conformément aux dispositions du code minier en faveur du développement communautaire, selon un rapport d’une organisation internationale reçu lundi par l’ACP.
« Nous appelons le gouvernement congolais à exiger l’exécution du cahier des charges avant l’octroi, le maintien de la validité ou le renouvellement des titres miniers d’exploitation et d’autorisation d’exploitation des carrières minières permanentes », a-t-on lu dans un rapport du Centre Carter.
Ils ont, en outre, recommandé aux gouverneurs des provinces, la signature des arrêtés fixant le statut, l’organisation et le fonctionnement des Comités locaux de développement (CLD) afin de garantir leur stabilité juridique et légitimité.
« En plus, les processus de négociation des cahiers des charges mettent en lumière des déséquilibres structurels du pouvoir entre les communautés et les entreprises minières en termes de capacités juridique et technique de négociation », a souligné ce rapport.
Cependant, plusieurs faiblesses ont également été constatées, entre autres, la léthargie des autorités provinciales pour l’approbation des cahiers de charges, le manque de respect de chronogramme de réalisation des projets par les entreprises minières.

Voiries de Kinshasa: 2850 m en couche d’enrobés envisagés sur l’avenue Bongolo

Kinshasa, 3 mars 2025 (ACP).-2850 m de couche d’enrobés et 150 m en béton armé sont envisagés sur l’avenue Bongolo à Kalamu, centre de Kinshasa, en République démocratique du Congo, par l’entreprise chargée de l’exécution des travaux de réhabilitation, a déclaré le fonctionnaire dirigeant lundi lors d’un entretien.
« L’entreprise Moderne construction Congo a envisagé de construire 2850 m de couche d’enrobés et 150 m de couche en béton armé sur l’avenue Bongolo afin de répondre aux exigences géotechniques du sol », a déclaré l’ingénieur Patrick Pagna fonctionnaire dirigeant.
« Les travaux de ce tronçon routier, long de 3.000 m se poursuivent à la satisfaction de la population environnante de la route ainsi que des usagers », a-t-il ajouté.
A ce jour, les travaux de bétonnage sont presque à terme et qu’il reste l’émulsion des bitumes sur les 2850 m et la réhabilitation partielle des ouvrages d’assainissement ainsi que le curage.
Le projet, rappelle-t-on, s’inscrit dans le cadre de l’amélioration du trafic à travers la ville de Kinshasa, initié par le gouvernement de la ville de Kinshasa.

RDC : élargissement de 4 bandes au péage de Kasangulu sur la nationale N°1

Selon ce communiqué, cette section routière a été identifiée suite à sa petitesse à hauteur des postes de péage et pesage où des camions occupaient toute une bande pendant les formalités.
L’entreprise « sisc.sa » qui a la charge des travaux a bénéficié d’une sous-traitance par la société de péage au Congo et de la société des postes et de l’épargne du Congo (sopeco), sous la supervision de l’Agence congolaise des grands travaux avaient lancé les travaux d’élargissement des chaussées de péage et pesage de Kenge, Lukala et Kasangulu.
Ces travaux d’élargissement couvrent 1km200 de long sur une largeur de 8m ; outre les travaux des ferraillages, l’entreprise s’active avec la traversée pour l’évacuation des eaux des caniveaux vers le collecteur.
Pour ce qui est de la prochaine étape des travaux, Sifi Banguma a annoncé l’écoulage du béton sur la zone déjà apprêtée avant le coffrage de la nouvelle zone.
Elle explique qu’après expropriation toutes les 4 bandes seront disponibles et pourront ainsi fluidifier le passage pour ce poste de péage et amoindrir l’engorgement qui se vit.

Transports en commun à Kinshasa : la grille tarifaire de l’hôtel de ville ne pèse pas

2025-03-032025-03-032025-03-032025-03-03Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/3-9/transport_commun_kin_jpg_711_473_1.jpegEn janvier dernier, le gouverneur de la ville de Kinshasa, Daniel Bumba, avait annoncé la mise en place d’une grille tarifaire pour les transports en commun.
Mais certains conducteurs demandent 2 000 francs, d’autres 2 500 francs pour la même distance.
Une fois sur place, ils exigent 1 500 francs supplémentaires pour la Gare Centrale.
Toutefois, ces 2 500 francs doivent être payés avant même que les passagers ne montent à bord.
Le tronçon Point Chaud-Victoire, dont la grille tarifaire est fixée à 1 000 francs, n’échappe pas non plus au phénomène d’augmentation des tarifs.

Procès Bukanga-Lonzo : l’audience renvoyée au 14 avril prochain pour absence des prévenus

Kinshasa, 03 mars 2025 (ACP).- La reprise du procès sur le détournement des fonds alloués au projet du parc agro-industriel de Bukanga-Lonzo, a été renvoyée au 14 avril prochain par la Cour constitutionnelle de la République démocratique du Congo, lors de son audience de lundi, pour absence des prévenus.
« La Cour accorde une remise au 14 avril 2024, la remise est contradictoire à l’égard de tous les prévenus », a déclaré Dieudonné Kamuleta, président de la Cour constitutionnelle.
De son côté, le procureur général de la République, John Moke Mayele, a souligné la nécessité de ne pas céder aux caprices des prévenus.
Cette affaire avait été ouverte en mai 2021 devant la Cour constitutionnelle.
En juin 2022, le procès s’était ouvert devant la Cour de cassation, où les trois premières audiences s’étaient limitées à l’identification des prévenus et leurs avocats.

Le manque de financement, un défi pour la conservation de la faune sauvage (un expert)

Kinshasa, 3 mars 2025 (ACP).- Le manque de financement a été évoqué comme un des défis liés à la conservation de la faune sauvage en République démocratique du Congo, lors d’un entretien lundi à Kinshasa avec le coordonnateur national d’un organe technique du commerce international de ces espèces menacées d’extinction.
« Cette journée doit être axée sur une réflexion profonde autour de l’état de la conservation de la faune sauvage qui fait actuellement objet de plusieurs défis dont le manque de financement », a déclaré Jean Joseph Mapilanga, coordonnateur national de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES).
Ces documents, a-t-il dit, sont la preuve que le spécimen a été acquis légalement.
Le 20 décembre 2013, la 68ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies a décidé, par sa résolution 68/205, de proclamer le 3 mars « Journée mondiale de la vie sauvage » afin de célébrer la faune et la flore sauvages et de sensibiliser le public à leur importance.
Le 3 mars 1973 est également le jour de l’adoption de la (CITES) qui joue un rôle important en veillant à ce que le commerce international ne menace pas la survie des espèces sauvages.

Kwilu: la population invitée à protéger les espèces animales et végétales menacées d’extinction

Bandundu, 3 mars 2025(ACP).-La population de Bandundu, chef-lieu de la province du Kwilu, dans le sud-ouest de la République démocratique du Congo, a été invitée à protéger les espèces animales et végétales menacées d’extinction, a-t-on appris lundi lors d’un entretien.
« Cet appel sur la protection des espèces animales et végétales menacées d’extinction, s’inscrit dans le cadre de la Journée mondiale de la vie sauvage de faune et flore en vue de sensibiliser le public à son importance dans la vie de l’homme », a déclaré Malanga Kubali, expert en environnement à la division provinciale.
« Les technologies numériques peuvent contribuer à renverser la vapeur ; grâce aux satellites, elles nous aident à suivre la trace des animaux menacés et cette journée a pour objectif de sensibiliser la population aux moyens de lutter contre la criminalité liée aux espèces sauvages », a-t-il ajouté.
Il a, à cette occasion, invité le public à la protection de la faune et de la flore pour prévenir le danger lié au trafic mondial des espèces sauvages, avant d’exhorter la population à l’utilisation des ressources naturelles durables pour la réalisation des objectifs de développement durable des Nations Unies, relatifs au bien fondé des océans, de la vie terrestre, de la lutte contre la pauvreté et de la consommation ainsi que la production responsable.
La Journée mondiale de la vie sauvage, célébrée le 3 mars de chaque année, fait référence au 3 mars 1973, jour de l’adoption de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES), qui joue un rôle important en veillant à ce que le commerce international ne menace pas la survie des espèces sauvages.

Tshopo: la lutte contre le réchauffement climatique développée dans un projet à Kisangani

Kisangani, 3 mars 2025 (ACP).- La lutte contre le réchauffement climatique a été développée dans un projet de reboisement de 5 hectares dans la concession d’une église kimbanguiste, à Kisangani, chef-lieu de la Tshopo (Nord-Est de la République démocratique du Congo (RDC), a-t-on appris lundi de source associative.
« Ce projet permet la mise en terre de 510 plantules, dont 250 avocatiers et autres arbres fruitiers destinés à stimuler l’économie locale à travers la production de fruits, ainsi que 260 acacias visant à renforcer la couverture forestière et lutter contre l’érosion des sols », a-t-il affirmé.
M. Amisi a, à cette occasion, appelé les autorités, la société civile et les communautés locales à soutenir les efforts de reboisement pour un avenir plus vert et durable.
« Ensemble, combattons le réchauffement climatique dans la Tshopo !
Ce projet consiste à reboiser 5 hectares dans la concession de l’Église Kimbanguiste « 26=1 » à Simisimi, à Kisangani.

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