Month: March 2025

Mbandaka, 1er mars 2025 (ACP).- Une forte délégation du parti politique Courant des Démocrates Rénovateurs (CDER) est arrivée samedi à Mbandaka, chef-lieu de la province de l’Équateur, dans l’ouest de la République démocratique du Congo, pour préparer l’accueil du ministre national de Portefeuille, a constaté l’ACP.
Nous sommes venus répondre à un exercice démocratique, car vous n’êtes sans ignorer que le Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a donné une mission à notre président du parti, le ministre national de portefeuille, M. Jean-Lucien Bussa.
Il a ajouté que le ministre de Portefeuille Jean-Lucien Bussa se rendra dans les sept territoires de la province de l’Équateur pour faire passer le message du Chef de l’État.
« En tant qu’acteurs du développement et politiques dans le territoire de Bikoro, nous sommes venus dans le cadre de notre association dénommée les Amis de Mputu Bokenga pour accompagner l’itinérance du ministre de portefeuille dans cette partie du pays.
Rappelons que le parti CDER est la troisième force politique avec trois députés provinciaux au sein de l’assemblée provinciale, après le Parti de l’unité nationale (PUNA) et le Mouvement de libération du Congo (MLC) qui en comptent chacun quatre.

Kinshasa, 1er mars 2025 (ACP).- Un cas de violation du droit international humanitaire dans un hôpital par l’armée rwandaise et ses supplétifs du M23-AFC a été signalé à Goma dans la province du Nord-Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC),a appris samedi l’ACP de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH-RDC), citant une organisation locale.
« De 23h00′ à 3h30′, les éléments de l’armée rwandaise et ses supplétifs du Mouvement du 23 mars et de l’Alliance fleuve Congo (M23-AFC) ont terrorisé l »hôpital Heal Africa, tirant même des coups de balles, voire baillonner certains malades.
L’hôpital HEAL Africa/Goma, dans la nuit du vendredi 28 février au samedi 1er mars 2025.
Des éléments armés de RDF/M23/AFC en quête, selon eux, des malades, présumés FARDC et Wazalendo.
Et pire encore, ils ont emporté avec eux certains malades « , ont ajouté cette source.

Kinshasa, 1er mars 2025 (ACP).- Cent quarante sept (147) nouveaux infirmiers admis à l’Ordre national des infirmiers, ont prêté serment au cours d’une cérémonie, samedi, à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC).
Le savoir-être c’est le comportement que vous avez, vous aurez à afficher devant les malades et la communauté.
Le savoir-faire rencontre des éléments importants tels que les connaissances et les compétences « , a-t-il poursuivi.
J’invite tout les infirmiers de formation qui travaillent et ceux qui ne travaillent pas encore de venir s’enregistrer et d’emboîter le pas enfin que le pays puisse le reconnaître.
Tout infirmiers qui n’est pas encore enregistré à l’ordre et qui n’a pas encore prêté serment n’est pas considéré en tant que tel >, a-t-il conseillé.

« Nous demandons au tribunal d’ordonner un test ADN pour éclairer votre religion et vous permettre de statuer sur la demande en contestation de la filiation maternelle de Mélissa Mbokoni Mbo, prétendue fille de la défunte Ngoto Yazeli Mona », a déclaré le ministère public dans son avis.
« Sur ce, nous demandons au Tribunal de confirmer le premier jugement qui a ordonné le test d’ADN pour qu’on puisse découvrir la vérité », a-t-il insisté.
Il a aussi fustigé le fait que Mélissa Mbokoni est venue faire opposition du jugement sans pour autant soulever le mal-jugé de ce jugement.
Elle est l’unique enfant de la défunte, c’est elle qui a droit à la succession », a déclaré l’avocat de Mélissa Mbokuni, la partie opposante.
Enfin, le Tribunal a demandé aux avocats de déposer leurs notes de plaidoirie pour lui permettre de statuer sur l’opposition.

Kinshasa, 1er mars 2025 (ACP).- Vingt candidats au ministère pastoral de la 25ème communauté évangélique au Kwango (CEK) de l’Eglise du Christ au Congo (ECC), ont été consacrés samedi dans la Cathédrale protestante du Congo, a constaté l’ACP.
Face à la corruption, a- t- il dit, la corruption gangrène tous les secteurs de notre société.
Il a exhorté le pasteur à lutter contre le tribalisme, le régionalisme et le sectarisme et les antivaleurs notamment l’immoralité, le mensonge, l’injustice et l’oppression qui sont devenus la norme.
Les pasteurs doivent enseigner la sainteté et amener les chrétiens à être la lumière et le sel de la terre (Matthieu 5 :13-16).
Face à la guerre et à l’injustice sociale, il a appelé le pasteur à être l’intercesseur pour la nation, artisan de paix et défenseur de notre pays agressé par des forces extérieures qui sèment la mort et la destruction.

Inongo, 1er mars 2025 (ACP).- Le renouvellement de serment, samedi, d’un avocat, député national, lors de la prestation de serment des impétrants de la 27ème promotion au barreau de Maï-Ndombe , dans la salle du cinquantenaire d’Inongo, chef-lieu de Maï-Ndombe (sud-ouest de la République démocratique du Congo) a été vu comme une particularité.
« La particularité, c’est que nous avons le renouvellement de serment de l’honorable Mongo Lokonda Aimé et puis c’est une figure de proue au Maï-Ndombe ; bon !
La confiance qu’il a faite au Maï-Ndombe, ça a donné un enseignement parce que le commun des mortels qui ne comprenait pas, mais quelqu’un qui est honorable, qui est déjà assis, qui a des moyens, mais il vient encore au barreau faire quoi ?
En fait, c’est un enseignement qu’ils ont reçu que le barreau est une classe, c’est un corps qui ne regorge pas seulement les gens qui se recherchent, qui sont encore au début de leur vie, mais c’est une qualité de la noblesse.
Donc, la particularité c’est que Inongo a compris que les avocats c’est une autre classe ; on ne comprenait pas cette profession, maintenant avec la présence d’Aimé Pascal Mongo Lokonda, on comprend que ce n’est pas seulement l’argent que vous cherchez à l’avocature, mais c’est la qualité, la grandeur, l’appartenance à une autre classe et c’est un message fort pour la population d’Inongo », a déclaré Jerrubar Mputu Mokanjila, bâtonnier au barreau de Maï-Ndombe.

Les violences qui secouent certaines régions du pays, en particulier dans l’est, forcent des milliers de personnes à fuir leur foyer.
En l’espace de deux semaines, plus de 60 000 Congolais ont traversé la frontière pour chercher refuge au Burundi, fuyant les combats violents qui ont pris de l’ampleur.
Nombreux sont ceux qui, après avoir échappé à la violence, ont trouvé refuge dans des villages et des zones proches de la frontière.
Cette situation inquiète d’autant plus les autorités burundaises et les organisations humanitaires, qui craignent un afflux massif de personnes vulnérables.
Le HCR, en collaboration avec le gouvernement burundais, a déjà mis en place des mesures d’urgence pour accueillir les réfugiés.