Le plus grand site d’information en république démocratique du congo

Trois soldats des Forces de Défense du Malawi (MDF) ont été tués lors d’intenses affrontements avec les rebelles du M23 dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), a annoncé le porte-parole des MDF, le Major Emmanuel Calvin Mlelemba.
Selon le porte-parole, les trois soldats sont « tombés dans l’exercice de leur devoir lors d’un affrontement avec le groupe rebelle M23 opérant dans l’est de la RDC ».
Deux des soldats ont été tués le 24 janvier à Sake, à une vingtaine de kilomètres de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, tandis qu’un autre avait été tué une semaine plus tôt, selon des sources militaires.
« Le personnel essentiel reste sur le terrain pour garantir la distribution de l’aide alimentaire, l’assistance médicale et la protection des populations vulnérables », a déclaré l’ONU dans un communiqué.
À Mweso, au moins deux civils, une femme et un enfant, ont été tués lors des échanges de tirs.

Le ministre de l’Emploi et travail, qui a été représenté à ce forum, a lancé un appel à tous les congolais à s’approprier la lutte contre la violence et le harcèlement au travail.
Pour Enabel, le travail décent est parmi les priorités de la coopération entre la RD Congo et le Royaume de Belgique.
Parce qu’on pense que l’épanouissement dans le travail contribue énormément au bien-être des personnes, mais aussi à la productivité.
« La Convention 190 est une Convention novatrice qui consacre le droit de toute personne à un monde de travail sans violence et harcèlement, y compris la violence et le harcèlement fondés sur le genre.
Lors de ce forum, un panel a été organisé sur le travail décent, la violence et le harcèlement au travail.

2025-01-242025-01-242025-01-242025-01-24Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/20-26/cyril_ramaphosa_250.jpgEn Afrique du Sud, vingt-cinq familles et survivants de crimes politiques de l’apartheid ont porté plainte contre le président Cyril Ramaphosa et son gouvernement.
La plainte, déposée lundi à la Haute Cour de Pretoria, réclame 167 millions de rands de dédommagements.
Les plaignants demandent également la création d’une commission d’enquête sur les ingérences politiques ayant empêché ces affaires d’être instruites.
Selon les documents de la plainte, des décisions exécutives auraient délibérément stoppé les enquêtes entre 2003 et 2017.
Cette plainte vise également à financer des enquêtes, des actions éducatives et des commémorations.