Kwilu : la société civile de Gungu exige la réhabilitation de la route Kikwit-Gungu

Les injures, marque de mépris, de dégradation, ont envahi nos rues, nos écoles, nos foyers.
Kinshasa, en particulier, est devenue le théâtre d’une explosion de violence verbale, où les insultes à caractère sexuel règnent en maîtres.
Un langage qui, selon les experts, laisse des cicatrices profondes sur l’éducation et le psychisme de nos enfants.
Aujourd’hui, nous plongeons au cœur de ce magazine, qui donne la parole à ceux qui subissent cette violence : des enfants, qui expriment leur désarroi et leurs attentes, des parents, qui partagent leur inquiétude, mais aussi des acteurs de la rue, chauffeurs de taxi, de bus, conducteurs de moto, communément appelés “wewa”.
“Injures publiques : des mots qui blessent, des enfants qui trébuchent” : Nous brisons le silence sur un fléau qui gangrène notre société !

Fêtes de nouvel an : FOMIN présente ses voeux au chef de l’État et lui réitère son soutien “indéfectible” (Communication)

Le gouverneur de la province du Mai-Ndombe, Lebon Nkoso Kevani, souhaite que « toute réunion visant à mettre fin à l’insécurité causée par la milice Mobondo à Kwamouth, ou qui aborde cette question, puisse se tenir à Kwamouth où se passent les atrocités ».
Il a tenu ces propos dans la cité de Kwamouth où il a eu des échanges, jeudi 19 décembre avec la population et les autorités sécuritaires.
« Il faut que cette réunion se tienne dans la cité de Kwamouth.
Parce que la population n’est pas d’accord avec ce qui se passe à Kinshasa par leurs soi-disant représentants chefs coutumiers.
Donc j’aimerais quand même que ces réunions se tiennent à Kwamouth pour que la population elle-même puisse dire aux autorités qui est chef coutumier, qui ne l’est pas », a-t-il conclu.