Kinshasa, 30 mars 2025 (ACP).- L’accélération du processus de la justice transitionnelle en République démocratique du Congo (RDC) a été exigée par le président d’une institution citoyenne pour mettre fin aux atteintes des droits humains dans l’Est du pays, a appris, samedi l’ACP de cette organisation.
Pour lui, Paul Nsapu a indiqué que l’accélération et l’effectivité du processus de cette justice transitionnelle va comprendre 4 principaux piliers qui sont; les poursuites judiciaires; les réparations; la recherche de la vérité et la réconciliation ainsi que les garanties de non-répétition et le devoir de mémoire.
« La RDC connaît des guerres d’agression et rébellion qui, toutes, ont été initiées par les Etats voisins, à partir des provinces de l’Est.
« Droit à l’intégrité physique, droit à la sécurité personnelle, droit à la liberté de mouvement, droit à ne pas être torturé ni soumis à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, droit à la liberté d’expression, droit à la liberté de manifester, droit de participer à la vie publique, et autres », a renchéri Paul Nsapu.
C’est le cas de la loi n°23/027 du 15 juin 2023 relative à la protection et à la responsabilité du défenseur des droits de l’homme; de la loi n° 08/011 du 14 juillet 2008 portant protection des droits des personnes vivant avec le VIH/SIDA et des personnes affectées; de la loi organique 0°22/003 du 3 mai 2022 portant protection et promotion des droits de la personne avec handicap et autres, a conclu René Kabala.
Author(s): acp.cd
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