RDC : en plein tourment sécuritaire, tous les réseaux de téléphonie cessent de fonctionner à Walikale-centre

« Au 28 mars 2025, le cours de change a été caractérisé par de légères fluctuations des taux de change sur les deux segments.
A l’indicatif, le franc congolais s’est légèrement apprécié de 0,22% de sa valeur et au parallèle, la monnaie nationale s’est appréciée de 0,10% », a-t-on lu dans la note de conjoncture de la Banque centrale du Congo.
La source a relevé que depuis le mois de mai 2024, le taux de change sur les deux segments a fluctué dans le plateau de 2800 CDF, le dollar américain.
La source a souligné l’importance d’interventions sur le marché des changes pour stabiliser la monnaie nationale, la mise en œuvre d’une politique monétaire restrictive et la poursuite d’une politique budgétaire prudente ainsi que la bonne coordination de celles-ci et enfin la poursuite de la régulation de la liquidité bancaire.
Le gouvernement congolais est appelé à mettre en œuvre des réformes économiques robustes pour protéger la valeur de la monnaie nationale et soutenir la croissance économique.

La République Démocratique du Congo se trouve confrontée à une multitude de défis, chacun d’eux se présentant comme à la fois urgent et crucial pour le développement harmonieux du pays.
Tous ces défis peuvent, en réalité, être inscrits dans le cadre d’une lutte plus vaste contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, une problématique à laquelle la RDC s’est engagée depuis 2004, mais qui n’a connu que peu d’avancées significatives.
Il n’est pas superflu de rappeler que la recrudescence des violences armées dans l’est du pays serait aussi alimentée par ce fléau insidieux.
Celles-ci doivent constituer des remparts solides contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme au sein de la société congolaise.
Il va sans dire que la sortie de la République Démocratique du Congo de la liste grise du GAFI ne devrait pas être considérée comme le sommet à atteindre.