« Ceci représente ma première distinction nationale, un tremplin, une grande fierté pour mes proches et pour moi-même.
Doryphore Tshimanga a précisé que ce concours dédié à la francophonie avait pour défi de réaliser un film en soixante (60) secondes.
« (…) Ma folie, le côté traditionnel, le respect du temps imparti, la mise en valeur de la langue française et du patrimoine congolais.
C’est aussi la profondeur du texte ainsi que la cohérence entre l’image et la voix off.
En tant que formateur dévoué, il utilise la poésie et l’écriture pour encourager l’expression personnelle et la confiance en soi chez les jeunes.
Author(s): acp.cd
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