Burundi: les réfugiés ayant gui la guerre à l’Est se retrouvent en situation de détresse

L’inspection générale du ministère de l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté a confirmé la tenue, pour ce mardi 7 mars 2025, de l’épreuve préliminaire de l’examen d’État 2025, sur toute l’étendue du pays dans le respect du calendrier réaménagé, à l’exception des provinces éducationnelles du Nord-Kivu1, du Sud-Kivu 1 et 3, où elle ambitionne organiser «une session spéciale dès que les conditions sécuritaires seront plausibles».
«…en raison de la situation préoccupante dans la partie Est de la République, l’épreuve ne sera pas administrée dans les provinces éducationnelles du Nord-Kivu 1, Sud-Kivu 1 et Sud-Kivu 3.
Une session spéciale sera organisée dans ces provinces dès que les conditions sécuritaires seront plausibles.
Pour rappel, lors de l’édition 2024, le nombre de participants était de 968 304, dont plus de 42% de filles , répartis dans 2960 centres de passation, y compris dans les zones hors frontières.
Lire aussi: RDC: les cours peinent toujours à reprendre à Goma depuis trois semaines suite aux combats entre l’armée et le M23Samyr LUKOMBO

Les représentants des chauffeurs de la capitale congolaise étaient venus présenter leur mémorandum concernant le moratoire accordé pour l’obtention des permis qui sera suivi d’un « vigoureux » contrôle.
Auprès des autorités, la synergie des associations des chauffeurs a plaidé pour que soit repoussé ledit moratoire afin que tous les chauffeurs se procurent les permis.
« La synergie a exprimé le vœu de conditionner l’obtention du permis de conduire à la détention d’un brevet justifiant une formation d’écolage.
Cette structure a également sollicité la multiplication des sites de délivrance des permis pour faciliter l’accès à tous.
Il a aussi rassuré que des sites supplémentaires seront ajoutés pour la délivrance des permis.

Les jeunes de cette municipalité ont été sensibilisés aux défis sécuritaires actuels du pays, notamment face à l’occupation de Goma et Bukavu par la rébellion politico-militaire du M23, soutenue par le Rwanda.
Son intervention s’est beaucoup plus appesantie sur le front numérique où la guerre se vit avec la résurgence de la propagation des Fake-News.
Cet appel a fait échos avec force auprès des jeunes présents, qui ont manifesté un grand intérêt pour ces nouveaux moyens d’action patriotique.
Samedi soir, la Première ministre Judith Suminwa Tuluka a lancé la vaste campagne « Congolais Telema », une initiative qui vise à sensibiliser la population à la nécessité d’un front commun contre l’agression étrangère.
« Il est fondamental de donner à cette guerre, la force de notre unité », a dit la Première ministre.