Boma: treize structures bénéficient des intrants et matériels de pêche (Ministère de la Pêche et de l’élevage)

Joseph Kabila s’unit au Cadre de concertation des forces politiques et sociales (mené notamment par l’ancien député Claudel Lubaya et Seth Kikuni, ancien candidat à la présidence) pour combattre Félix Tshisekedi et son initiative de changement de la Constitution.
C’est l’essentiel d’une communication faite par Claudel Lubaya ce lundi 6 janvier, à la suite de cette rencontre qui a eu lieu les 16 et 17 du mois précédent à Addis-Abeba, en Éthiopie.
»Selon Joseph Kabila et ses nouveaux alliés, l’article 64 reste le dernier rempart face au pouvoir de Félix Tshisekedi.
« À l’unanimité, nous avons convenu de tout mettre en œuvre pour faire échec à la dictature en cours et ce, en vertu de l’article 64 de notre Constitution.
Ce dernier demeure notre seul et ultime rempart contre toute manœuvre visant à confisquer et à exercer le pouvoir en violation de la Constitution », conclut ce document.

Dans la capitale angolaise, il a été question, une fois de plus, rappelle le journal, de la situation sécuritaire préoccupante dans l’Est de la RDC.
Et pour Eco News qui parle d’un virage stratégique de Kinshasa, Félix Tshisekedi a enfin accepté des négociations directes avec les M23.
Les discussions directes entre le M23 et le Gouvernement congolais pourraient être un tournant décisif dans la quête de paix, fait remarquer Le Potentiel.
Toutefois, relève le tabloïd, la complexité de la situation et les intérêts divergents des parties impliquées soulèvent des questions sur l’efficacité de ces pourparlers.
De son côté, renchérit l’Agence congolaise de presse, le porte-parole du Gouvernement, le ministre Patrick Muyaya, est allé dans le même sens que la présidence congolaise.

Face à cette menace, il a interpellé le gouvernement provincial, l’invitant à prendre des mesures urgentes pour rétablir l’ordre public et la paix.
Patrick Kilolo Ngoyi a profité de l’occasion pour dénoncer les tensions politiques récentes à Kabinda et appelé les acteurs politiques et institutionnels à la responsabilité et à la cohésion.
« La stabilité des institutions est un atout majeur pour la consolidation du développement déjà amorcé.
Nous devons taire nos divergences politiques, tribales, religieuses et ethniques, et nous unir derrière le Chef de l’État Félix Tshisekedi et nos FARDC.
Nous devons soutenir les institutions provinciales et privilégier la paix ainsi que la cohésion nationale et provinciale afin de contrecarrer les stratégies de l’ennemi », a-t-il insisté.