Day: March 27, 2025

Ces ” fissures” et ” mécontentements” se sont beaucoup fait sentir lors des consultations politiques menées par le Conseiller Spécial du Chef de l’État en matière de sécurité.
Soucieux de voir Félix Tshisekedi diriger dans la paix, Augustin Kabuya s’est porté garant pour rencontrer les différents protagonistes en vue de faire la paix pour la bonne marche du pays et de la famille politique de Félix Tshisekedi.
En politique, il faut éviter des frustrations ou encore des humiliations.
Pour le président ad intérim du parti présidentiel :”Ce qui nous intéresse au niveau de l’UDPS, c’est cette cohésion là, cette unité-là pour que le chef de l’État puisse bien nous guider.
Nous ne pouvons pas poser des actes qui créent des problèmes, qui créent des frustrations, ce qui n’est pas du tout correct, il faut rassurer tout le monde que le chef est là pour nous tous”.

Conduits par Billy Kambale, les regroupements politiques Action des alliés de l’Union pour la nation Congolaise (AA-UNC) et AVK 2018 ont été reçus mardi 25 mars 2025 par le conseiller spécial du chef de l’État en matière de sécurité, Cashmir Eberande Kolongele dans le cadre des consultations politiques en vue de restaurer l’unité et la cohésion nationale face à l’agression Rwandaise via la rébellion du M23.
À l’issue des échanges, Billy Kambale, également secrétaire général de l’Union pour la nation congolaise (UNC) de Vital Kamerhe a salué l’initiative de Félix Tshisekedi et rappelé la nécessité de mettre en place un gouvernement de ” guerre” qui aura pour mission de mettre fin aux agressions répétitives du Rwanda en RDC.
Pour Billy Kambale, sa famille politique est prête à faire des concessions pour favoriser une large représentativité d’autres forces politiques et sociales en vue de répondre aux attentes de la population congolaise.
Les consultations reposent sur plusieurs principes clés, dont « la suprématie de la Constitution, l’unité nationale, l’intangibilité des frontières, la souveraineté nationale, le respect des institutions établies et la gouvernance inclusive et participative », a précisé M. Kolongele via son directeur de cabinet en présence de la presse.
Quatre catégories d’acteurs sont concernées : la majorité parlementaire issue de l’Union sacrée de la nation, les partis d’opposition parlementaires et extraparlementaires, la société civile dans toute sa diversité – notamment les confessions religieuses – ainsi que des personnalités indépendantes, incluant anciens candidats à la présidentielle, responsables publics ou encore figures marquantes de divers secteurs.

La date du samedi 22 mars 2025 restera unique dans la carrière d’artiste slameuse de Do Nsoseme.
“Je dédie cette réussite à toutes les femmes prises aux pièges à l’est du pays à cause des conflits et au-delà même de l’est, toutes les femmes congolaises dans les zones de conflits, parce que ce n’est pas qu’à l’est, les conflits touchent aussi le grand Bandundu.
Ceux-ci ont reçu juste avant, une visite de la ministre congolaise de la culture, des arts et du patrimoine.
Son passage a été un signe fort de reconnaissance pour le slam et la poésie en tant qu’arts majeurs.
Nous avons échangé sur l’importance de la culture dans la construction de notre société.

Le gouverneur de la province de Lomami Iron-Van Kalombo Musoko a décidé de récupérer les véhicules récemment remis aux 5 administrateurs du territoire de Ngandanjika par le gouvernement central depuis quelques jours.
Notre chef, monsieur le gouverneur qui nous a appelés, nous a demandé d’envoyer les véhicules pour acheminer la police et les FARDC afin d’assurer la sécurité dans le coin.
Pourquoi confisquer les véhicules dotés aux territoires pour leur mobilité et assurer la paix et la sécurité dans les villages ?
Cette décision a été prise pour faire face aux multiples défis liés à la mobilité des membres du conseil de sécurité dans la province de Lomami.
Entre-temps, la plupart s’interrogent sur la durée de l’utilisation de ces véhicules des administrateurs des territoires par la Province.

Après cette désignation, le communiqué final révèle qu’une séance d’information conjointe SADC-EAC est prévue avec les cinq facilitateurs en présence de l’Union africaine et l’ONU.
Ceci doit se faire dans les sept prochains jours pour lancer effectivement la mise en œuvre des décisions issues du sommet conjoint SADC-EAC tenu précédemment à Dar es Salaam en Tanzanie.
“Les Secrétariats de la CAE et de la SADC doivent informer les Facilitateurs de la nomination unanime du Sommet conjoint et transmettre les résultats de ce Sommet au Conseil de l’UA et des Nations Unies; le Sommet conjoint a chargé les coprésidents (NDLR: William Ruto et Emmerson Mnangagwa) de convoquer une séance d’information avec le panel de Facilitateurs dans les sept prochains jours ; cette séance d’information devrait être organisée conjointement par la SADC, la CAE et l’Union africaine” rapporte le communiqué final du sommet conjoint SADC-EAC.
Le sommet a salué les efforts consentis par les deux blocs régionaux pour le rétablissement de la paix dans l’Est de la République Démocratique du Congo.
Les nouvelles désignations s’inscrivent dans le cadre de la fusion des processus de Luanda et de Nairobi, sous la supervision des dirigeants régionaux.

Le président congolais Félix Tshisekedi a été reçu mercredi à Luanda par son homologue angolais João Lourenço, moins de deux semaines après l’annonce par l’Angola de son retrait du rôle de médiateur dans la crise opposant la République démocratique du Congo (RDC) au Rwanda.
Luanda avait exprimé publiquement sa surprise après cette entrevue, qui s’est tenue hors du cadre du processus angolais.
Kigali conditionnait alors sa participation à un dialogue direct entre Kinshasa et le groupe rebelle AFC/M23, ce que la RDC refusait.
Lundi, les chefs d’État de la SADC et de l’EAC ont décidé de fusionner les processus de Luanda et de Nairobi.
Parallèlement, le Qatar poursuit un rôle discret dans les efforts de médiation, en maintenant un canal de discussion ouvert entre Kigali et Kinshasa.

À la 10ᵉ minute, l’équipe affichait déjà son dynamisme, imposant son rythme face à un Tshinkunku qui peinait à relancer proprement.
La première mi-temps se conclut sur un score de 0-1, témoignant de la cohésion défensive de Lupopo et de la persistance de ses attaquants.
La reprise, marquée à la 46ᵉ minute par une réplique rassurante de l’équipe locale, voit une intensification des efforts de Tshinkunku pour revenir au score.
Même sous une légère bruine à la 67ᵉ minute, lorsqu’un attaquant adverse tentera de percer la défense, Lupopo parvient à déjouer les velléités de ses adversaires.
Malgré une ultime tentative d’égalisation à la 85ᵉ minute, les Cheminots s’assurent de conserver leurs cages inviolées.

L’objectif est de rendre hommage à la femme congolaise et, plus largement, à la place qu’occupe la femme dans le monde.
« C’est une exposition qui met en valeur l’identité et l’empreinte de la femme artiste congolaise.
Loin d’être un simple thème esthétique, “Signature” est un message puissant, centré sur l’idée que chaque femme porte en elle une empreinte propre, une voix, une volonté, une vision.
« Parce que les femmes sont aussi des personnes intelligentes, des personnes réfléchies, des personnes qui ont du cœur.
« Dans la vie de l’homme, et en particulier de la femme, la signature représente la voix, la liberté et le pouvoir d’affirmer son existence », a dit Henry-Gabriel Isamene Kukabu, curateur de l’exposition.

« La rencontre entre Son Excellence João Manuel Gonçalves Lourenço, président de la République d’Angola et président de l’Union africaine, et Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, président de la République démocratique du Congo, vient de s’achever », a déclaré Antonio Tete, chef de la diplomatie angolaise, à l’issue de l’entretien.
Sur le dossier du conflit dans l’est de la RDC, « bien qu’Angola n’assume plus la responsabilité de la médiation », ils ont convenu de « maintenir une concertation et des consultations régulières », dans le cadre des responsabilités actuelles de l’Angola à la présidence tournante de l’Union africaine, a ajouté le ministre.
Elle intervient peu après la rencontre entre Félix Tshisekedi et son homologue rwandais Paul Kagame, tenue récemment à Doha, au Qatar, en dehors du cadre du processus angolais.
Dans le même temps, un sommet conjoint des chefs d’État de la SADC et de l’EAC a abouti lundi à la fusion des processus de Luanda et de Nairobi.
Le Qatar, où s’est tenue la récente rencontre Tshisekedi-Kagame, poursuit en parallèle un rôle discret de facilitateur entre Kigali et Kinshasa.