Faux ! Le riz Butter Brand en provenance de Chine n’a pas causé de morts à Kinshasa

Au total, 275 jeunes, parmi lesquels des criminels arrêtés lors des opérations ciblées de la police et des volontaires, sont confiés par le gouvernement provincial du Haut-Katanga Service national.
Ils ont embarqué mercredi 18 décembre de Lubumbashi à destination de Kaniama Kasese, dans le Haut-Lomami.
Selon le commandant du Service national, général-major Jean-Pierre Kasongo, il s’agit de la troisième vague en une année pour la seule province du Haut-Katanga.
« Le week-end, nous allons faire deux rotations en provenance de Kolwezi (Lualaba) », a-t-il annoncé, insistant sur le fait que certains jeunes s’engagent volontairement à servir au Service national.
En dehors du centre pilote de Kaniama Kasese, d’autres sont en construction à travers le pays pour les encadrer, a poursuivi le général-major Jean-Pierre Kasongo Kabwik, sans autres précisions.

Elle a été déposée lundi 31 mars 2025 au cabinet du président de l’Assemblée nationale.
Selon l’élu de l’UNC, ce cadre juridique s’inscrit dans la logique des efforts engagés par l’État congolais pour permettre à ses citoyens de participer activement à la défense de la patrie.
« Notre proposition de loi portant instauration du service militaire obligatoire, déposée ce jour au cabinet du président de l’Assemblée nationale, propose deux types de formations, qui auront une durée maximale de six mois.
La deuxième formation militaire aura une durée de trois mois », souligne le député Claude Misare.
Il est donc temps que l’intégrité du territoire national de notre pays soit défendue militairement par ces fils et filles.

Malgré cette accalmie, l’incertitude continue de planer dans le chef des habitants qui ont vécu des jours sombres, marqués par la peur et la psychose à cause des combats.
Les activités sociales et économiques restent toujours paralysées, et des scènes de pillages sont signalées notamment sur l’axe Goma-Sake au quartier Katindo où des maisons commerciales sont vandalisées.
Des pillages sont également observés dans les quartiers Himbi, commune de Goma et Mabanga-sud dans la commune de Karisimbi.
La circulation reprend timidement dans la ville.
Des sources concordantes rapportent que les rebelles du M23 sont perceptibles dans plusieurs coins stratégiques de la ville.