RDC : nécessité d’inscrire la médiation des conflits électoraux dans la loi électorale

En tant qu’antenne, vous avez les mêmes dispositions légales à savoir, le contrôle, les enquêtes, les audits et les évaluations », a déclaré le commissaire supérieur principal, Jean-Paul Mirindi, modérateur principal.
Il a fait savoir que les missions confiées aux antennes provinciales, sont de même nature que celles attribuées à l’Inspection générale de la police nationale congolaise par l’article 49 de la loi organique.
Ceci, lui permettra en outre, d’organiser son service, de réaliser les missions qui lui sont confiées conformément à ces directives et d’en rendre compte à l’Inspecteur général.
Au cours de cet atelier, les nouveaux chefs d’antennes ont reçu des consignes et instructions à observer dans les provinces respectives.
Ces provinces ne sont entre autres que, celle de la Mongala, du Maï-Ndombe, du Sankuru, Bas-Uele, Haut-Lomami, de la Lomami, du Kwango, de la Tshuapa ainsi que du Nord et Sud Ubangi.

« La transformation numérique est perçue comme un moyen incontournable pour le développement économique, en particulier pour les jeunes, qui représentent une part importante de la population dans notre pays » a déclaré Judith Mampasi, experte en réseaux et télécommunications.
A cette occasion, les intervenants ont échangé avec les participants sur leurs propres expériences dans le domaine du numérique.
Cette interaction a permis de renforcer le sentiment d’espoir, tout en mettant en lumière les nombreux projets innovants qui vont être lancés par ces jeunes dans le secteur du numérique.
Selon elle, cette conférence a marqué une étape importante dans la mobilisation en ce qui concerne l’emploi des jeunes et leur inclusion dans l’économie numérique, en leur montrant que, malgré les défis, le numérique reste une voie d’avenir pour la jeunesse congolaise.
Créée en décembre 2019, cette association juvénile a pour mission de renforcer l’autonomie et les capacités des jeunes en leur fournissant des outils nécessaires pour leur épanouissement.

Mbandaka, 16 mars 2025 (ACP).- «Contribuer à l’amélioration de la santé des jeunes filles et des femmes par une prise en charge adéquate des avortements» a été le thème central d’une conférence-débat organisée samedi à Mbandaka, chef-lieu de la province de l’Équateur, dans l’ouest de la République démocratique du Congo, a appris l’ACP des organisateurs.
«L’objectif de cette activité est d’améliorer la santé des jeunes filles et des femmes par une prise en charge adéquate des avortements.
Les avortements sont à l’origine de nombreux décès chez les jeunes filles et les femmes, souvent passés inaperçus», a déclaré Dr Valérie Ndenge, coordinatrice de cette association.
Elle a ajouté que «pour que la femme congolaise soit au centre de toutes les ambitions, comme l’indique notre thème national cette année, elle doit être en bonne santé, car elle a droit à la santé».
Cette activité qui s’inscrit dans le cadre du mois de la femme a bénéficié du soutien financier et matériel des dépôts pharmaceutiques opérant dans la ville de Mbandaka, ainsi que des cotisations des membres, des autorités sanitaires et des personnes bienveillantes.