RDC : « L’ex vice-ministre Victor Kasongo Shomary n’est pas arrêté et le jugement le condamnant est sans effet » (Mise au point)

Au cours de son meeting tenu à Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï-Oriental, le 26 décembre 2024, le chef de l’État congolais est de nouveau revenu sur la question de la révision de la Constitution.
Devant différentes couches de la population locale réunies à la grande place Saint Jean-Baptiste de Bonzola, le président de la République a indiqué que l’actuelle Constitution ne facilite pas la bonne gestion du pays.
“La voix du peuple, c’est la voix du peuple.
Ce que dit le souverain, c’est ce que je ferais”, a poursuivi brièvement le chef de l’État sous les acclamations de la foule réunie à la grande place Saint Jean-Baptiste de Convola.
Il convient de noter que la ville de Mbuji-Mayi est la deuxième étape de cette tournée dans l’espace Kasaï, après la ville de Kananga, chef-lieu de la province du Kasaï-Central.

Environ mille élèves de l’école primaire Tchabi dans la cité du même nom située à 120 kilomètres au sud de Bunia (Ituri), ont été frappées par la foudre pendant la pluie lundi 2 décembre.
Parmi eux, cinquante ont été blessés et acheminés d’urgence dans une structure sanitaire locale pour des soins.
Selon la société civile locale, les activités scolaires sont suspendues à suite la suite de ce drame, qui a créé une psychose dans cet établissement.
La plupart de ces élèves vivent dans la psychose, surtout pendant cette période de pluie.
Pour le moment, les activités scolaires sont suspendues.

2024-12-292024-12-292024-12-292024-12-29Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/23-29/elections_au_tchad_les_militaires_les_nomades_et_la_diaspora_sont_les_premiers_a_voter.jpgAu Tchad, les élections législatives, provinciales et communales ont commencé, ce samedi 28 décembre, avec le vote des militaires, des nomades et de la diaspora.
RFI s’est rendue à Koundoul et à Mandelia, à quelques dizaines de kilomètres, au sud de Ndjamena.
», a déclaré Haroun Abdallah Adam, député du PDCT, le Parti pour le développement et la continuité.
Nous appelons au calme et à la responsabilité de tous les acteurs politiques.
Plusieurs syndicats et patronats des médias privés réclament le versement de leurs subventions annuelles, mais aussi celle prévue par la loi pour les aider à couvrir les élections.