Evaluation à Kinshasa du Projet de professionnalisation de la Police pour la population et la paix

Les acteurs impliqués dans le Projet de professionnalisation de la Police pour la population et la paix (P4P) ont évalué, ce mercredi 26 mars à Kinshasa, les avancées de la phase 2 du projet, dans l’optique de mieux préparer l’étape suivante.
Le deuxième défi concerne les infrastructures, car une police respectable doit disposer de postes de police présentables pour inspirer confiance à la population.
Le Projet P4PLe Projet de professionnalisation de la police pour la population et la paix a pour objectif de promouvoir une Police nationale plus professionnelle, proche des citoyens et fondée sur une gouvernance participative.
Mis en œuvre à Kimbanseke, ce programme vise à renforcer la confiance entre les forces de l’ordre et la population, tout en offrant des solutions durables pour assurer la stabilité locale.
Les efforts déployés serviront de socle pour étendre ce modèle à d’autres zones et pour répondre aux attentes croissantes de la population.

Félix Tshisekedi et João Lourenço conviennent de « maintenir une concertation et des consultations régulières »

Le Président Félix-Antoine Tshisekedi a rencontré, ce mercredi 26 mars à Luanda, son homologue angolais João Lourenço.
Selon Téte António, chef de la diplomatie angolaise, les deux chefs d’État ont convenu de « maintenir une concertation et des consultations régulières », malgré le retrait de l’Angola de son rôle de médiateur dans le conflit à l’est de la RDC.
Cette initiative a surpris João Lourenço, qui avait prévu de jouer un rôle clé dans les négociations de paix.
La réunion de Doha a eu lieu alors que le dialogue direct entre la RDC et le M23, sous médiation angolaise, était censé débuter.
Ce contexte complexe reflète les défis persistants dans la recherche d’une solution durable au conflit dans l’est de la RDC.

Gouvernement d’union nationale en RDC : Entre espoir et scepticisme

Les auditeurs ont échangé avec Me Dieudonné Tshibwabwa Mbuyi, analyste politique et avocat au barreau de Bruxelles en Belgique, de Kinshasa Gombe et de Kananga en RDC, sous la modération de Marcel Ngombo Mbala.
Suivez dans cet enregistrement : /sites/default/files/2025-03/26032025-p-f-pa-web.mp3Vos réactions sont les bienvenues sur la page Facebook Parole aux auditeurs.
Vous pouvez aussi écrire à l’adresse [email protected] ou réagir dans le groupe WhatsApp de Parole aux auditeurs ou encore intervenir en direct en composant le 0854 465 536.
Adhérer le groupe WhatsApp de « Parole aux Auditeurs »Faites-nous bénéficier de votre expertise en joignant le groupe WhatsApp de Parole aux Auditeurs, inscrivez-vous au Nº WhatsApp +243997068079, en nous envoyant votre nom et ville ou territoire et votre domaine d’expertise.
Cela vous permettra d’être au courant de toutes les activités de Parole aux Auditeurs et aussi échanger avec d’autres fidèles auditeurs de votre Magazine Parole aux Auditeurs.

Mise à l’écart, frustrations, favoritisme…Tony Kanku consacre l’éclatement de PEP-AAAP

2025-03-262025-03-262025-03-262025-03-26Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/24-30/consultations_politiques_nationales_pe_aaap_tony_kanku_et_laurent_batumona_26_mars_2025.jpgRien ne va plus au sein de l’Alliance des acteurs attachés au peuple et Alliés (AAAP).
La méga plateforme de Tony Kanku Shiku, jadis une force incontournable en faveur de Félix Tshisekedi, est au bord de l’éclatement.
Les principaux acteurs de mouvements politiques qui constituent la méga plateforme sont mis à l’écart, réduit au silence, marginalisés…au profit de quelques têtes.
À se demander si on doit vraiment continuer de parler de la méga plateforme AAAP-A avec toutes ces absences.
Tryphon Kinkey, Evariste Boshab, Michel Bongongo, Batumona…présents aux consultations ne suffisent pas à eux seuls d’engager la méga plateforme.

Maniema : Le gouverneur renforce la traçabilité de l’or pour lutter contre l’exportation illégale

Le gouverneur du Maniema, Moïse Moussa Kabwankubi, a annoncé un renforcement des mesures de traçabilité de l’or artisanal dans la province.
L’objectif est d’arriver à exporter une tonne d’or par an », a déclaré le gouverneur.
DRC Gold Trading SA : Un passage obligatoire pour toute exportationPour contrôler le commerce de l’or et limiter les fuites vers des circuits clandestins, DRC Gold Trading SA, une entreprise publique, devient désormais le seul canal d’exportation autorisé.
L’exportation incontrôlée de l’or représente un manque à gagner considérable pour la province et le pays.
En imposant cette nouvelle réglementation, le gouverneur espère maximiser les recettes fiscales, assainir la chaîne d’approvisionnement et sécuriser le secteur minier dans le Maniema.

Police : remise à niveau de nouveaux chefs d’antennes provinciales de l’Inspection générale

En tant qu’antenne, vous avez les mêmes dispositions légales à savoir, le contrôle, les enquêtes, les audits et les évaluations », a déclaré le commissaire supérieur principal, Jean-Paul Mirindi, modérateur principal.
Il a fait savoir que les missions confiées aux antennes provinciales, sont de même nature que celles attribuées à l’Inspection générale de la police nationale congolaise par l’article 49 de la loi organique.
Ceci, lui permettra en outre, d’organiser son service, de réaliser les missions qui lui sont confiées conformément à ces directives et d’en rendre compte à l’Inspecteur général.
Au cours de cet atelier, les nouveaux chefs d’antennes ont reçu des consignes et instructions à observer dans les provinces respectives.
Ces provinces ne sont entre autres que, celle de la Mongala, du Maï-Ndombe, du Sankuru, Bas-Uele, Haut-Lomami, de la Lomami, du Kwango, de la Tshuapa ainsi que du Nord et Sud Ubangi.

RDC : évaluation de la vulgarisation des textes légaux relatifs aux comités provinciaux de sécurité

Kinshasa, 26 mars 2025 (ACP).- La vulgarisation des textes légaux relatifs à la création, à l’organisation et au fonctionnement des comités provinciaux et locaux de sécurité a été évaluée mardi à Kinshasa en République démocratique du Congo, selon un communiqué du ministère de l’Intérieur et sécurité reçu mercredi à l’ACP.
Au cours de cette séance de travail, le patron de la sécurité nationale a insisté sur l’implication du ministre délégué près de l’Urbanisme et habitat en charge de la politique de la ville Didier Tenge Te Litho et le gouverneur de la ville de Kinshasa Daniel Bumba dans la vulgarisation des textes légaux qui répondent non seulement aux problèmes qui touchent à la sécurité des congolais mais aussi, qui impliquent la population dans la gestion de la sécurité publique.
Parmi ces difficultés, l’on a noté des tracasseries policières et militaires avec des barrières érigées sur la route nationale numéro 39, et l’insécurité urbaine dans les agglomérations des sites miniers.
A cela s’ajoute, les conflits coutumiers dans les villages bénéficiant de la redevance minière et le sous-effectif des éléments de la Police dans les zones de défense et d’intervention.
Ce projet de loi vise notamment, le rajeunissement et la professionnalisation de la Police nationale congolaise (PNC), afin de répondre à la problématique du sous-effectif de la police.

Le plus grand site d’information en république démocratique du congo

Bruno Fuchs, président de la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale de la France, a rappelé le rôle central de la RDC pour la promotion des valeurs de la Francophonie, rapporte un compte-rendu du ministre du Partenariat public privé du gouvernement provincial de Kinshasa, Fiston Bahati, parvenu à 7SUR7.CD ce mercredi 26 mars.
Fiston Bahati l’a déclaré au sortir d’une audience avec ce député français du groupe Les Démocrates, à Paris.
« Bruno Fuchs a réitéré l’importance d’une mobilisation diplomatique au niveau international pour dénoncer les multiples agressions rwandaises en RD Congo et a souligné l’intérêt des entrepreneurs français pour investir dans le potentiel de développement de la RD Congo et a rappelé le rôle central de ce pays pour la promotion des valeurs de la Francophonie», a déclaré le ministre provincial de Kinshasa.
Le besoin d’un dialogue constructif pour un renforcement de coopération entre la RDC et la France se ressent de plus en plus.
Alors que des voix internes appellent au retrait de la RDC de la Francophonie, le gouvernement de la RDC a, notamment, conditionné sa participation au prochain sommet de la Francophonie (prévu à Kigali) par sa délocalisation.

Consultations politiques : le 4AC de Peter Kazadi insiste sur la suprématie de la Constitution et de l’intégrité territoriale

« Il a été question, pour nous, de renouveller notre attachement au Chef de l’État Felix Tshisekedi et à tous ceux qui nous ont fait confiance en nous donnant leur mandat de représentants.
Il a été question également pour nous, de renouveler notre attachement aux principes cardinaux qui régissent notre pays: le principe de la suprématie de notre Constitution, le respect de l’intégrité territoriale de nos frontières héritées de la colonisation.
C’est pourquoi nous adhérons à l’idée du Président de la République de procéder à la mise en place d’un Gouvernement de salut public », a déclaré Kazadi.
Cette initiative vise à renforcer la cohésion nationale et à aborder les défis auxquels le pays est confronté.
L’engagement envers la Constitution et le respect des frontières sont des éléments cruciaux pour l’unité et la stabilité du pays, et les discussions menées dans ce cadre sont essentielles pour le futur politique de la République démocratique du Congo.

RDC: une Ong des femmes autochtones pygmées pour la paix durable à l’Est

Et d’ajouter: « La conférence de presse que nous venons d’animer nous a poussées de relayer le cri de détresse des communautés locales et des peuples autochtones ainsi que des personnes vivant avec handicap en errance et proie aux atrocités dues aux affres de la guerre ».
Marie Dorothée Lisenga a enjoint le Parlement congolais d’activer la diplomatie parlementaire pour la paix dans la région des Grands Lacs, plus particulièrement dans la partie Est de la RDC et de légiférer sur les cas de violations des droits de l’homme commis dans cette partie du territoire national.
Dans le mémorandum de son ONG, dont la copie est parvenue à l’ACP, la coordonnatrice Lisenga a laissé entendre que sa structure ne reste pas indifférente à la situation que traversent certaines ONG qui s’occupent des femmes et des enfants dans cette partie du pays.
Pour rappel, Facid milite pour la promotion et la protection des droits spécifiques de la fille, de la femme et de l’enfant autochtone et elle travaille surtout sur les questions relatives à son autonomisation économique.
Elle initie les femmes autochtones à développer des activités génératrices de revenus à travers les initiatives locales comme la vente des produits forestiers non ligneux ( PFNL) issus de la cueillette, notamment le miel, les champignons et les chenilles.

Accepter les Notifications pour ne pas rater les news de la RDC OK No