Kongo-Central : 69 détenus libérés de la prison de Mbanza-Ngungu grâce à la grâce présidentielle

jeudi, 3 avril, 2025 à 18:28Paris – Le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot a réitéré la position de la France, exprimée au plus haut niveau de l’Etat, soutenant la souveraineté du Maroc sur son Sahara.
Dans un message adressé à Sa Majesté le Roi Mohammed VI en juillet 2024, le Président français, Emmanuel Macron avait affirmé que la France «considère que le présent et l’avenir du Sahara occidental s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine».
Le Chef de l’État français avait également réitéré avec force le soutien de la France à la souveraineté du Royaume sur son Sahara lors d’une séance conjointe des deux Chambres du Parlement marocain le 29 octobre dernier, à l’occasion de sa visite d’Etat dans le Royaume.
Pour la France, le présent et l’avenir de ce territoire s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine.
L’autonomie sous souveraineté marocaine est le cadre dans lequel cette question doit être résolue”, avait déclaré M. Macron devant les deux Chambres du Parlement.

Le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a ouvert, lors de son discours annuel sur l’état de la nation ce mercredi, la porte à une possible réforme constitutionnelle.
Devant les deux chambres du Parlement réunies en Congrès au Palais du Peuple, il a appelé à une « réflexion nationale » sur les failles constitutionnelles qu’il juge responsables de certains dysfonctionnements institutionnels.
Il a ajouté que « ces délais, bien que contraignants, étaient indispensables pour respecter les échéances et les procédures fondamentales de notre démocratie ».
Dans une proposition susceptible d’attiser les débats, Félix Tshisekedi a affirmé qu’« il est peut-être temps d’engager une réflexion nationale sur une réforme constitutionnelle, afin d’éliminer les failles qui ralentissent le fonctionnement de notre appareil étatique ».
»L’appel du président intervient dans un contexte marqué par un débat houleux sur la révision ou le changement de la Constitution congolaise.

2025-03-132025-03-132025-03-132025-03-13Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/10-16/ecc_et_cenco_salut_le_dialogue_direct_entre_kinshasa_et_m23_afc_13_mars_2025.jpgDans un communiqué publié ce jeudi 13 mars, l’Église du Christ au Congo et la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) félicitent le président Angolais qui est en même temps président de l’Union africaine, Joao Lourenço, pour les efforts déployés en vue de l’avènement de la Paix en RDC et dans les Grands Lacs.
Les deux confessions religieuses saluent ainsi “chaleureusement” l’initiative du président Lourenço d’un dialogue direct entre les autorités congolaises et les responsables de l’AFC/M23.
Elles encouragent les chefs d’État de la Sadc et de l’EAC à soutenir pleinement le processus de ce dialogue direct initié par le président João Lourenço.
Par ailleurs, la Cenco-ECC exprime sa gratitude aux chefs d’État africains qui leur ont offert l’hospitalité et ont apporté un soutien encourageant à l’initiative du «Pacte social pour la paix et le bien-vivre ensemble en République démocratique du Congo et dans les Grands Lacs ».
Dans la foulée, la Cenco-ECC exhorte tous les acteurs politiques, les forces vives et l’ensemble du peuple congolais à appuyer activement le processus de dialogue en cours.