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Nous sommes heureux de vous faire parvenir cette nouvelle leçon sur la manière d’exprimer votre colère en français.
Ce nouvel épisode vous offre des expressions simples et pratiques pour parler de votre colère sans blesser votre interlocuteur.
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Author(s): radiookapi.net
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Dans ce numéro, nous abordons un sujet qui, malheureusement, s’invite de plus en plus dans nos conversations de tous les jours et dans l’espace public : le langage menaçant.
Les menaces, on les entend partout.
Dans les familles, les marchés, les transports publics, et même sur les réseaux sociaux.
Comment ce langage menaçant s’installe-t-il dans nos interactions de tous les jours et dans l’espace public ?
Quels sont les risques et les conséquences de ces paroles, qu’elles soient proférées en privé, en public ou même dans le cyberespace ?
Kinshasa, 12 mars 2025 (ACP).- L’unité nationale comme posture à adopter pendant cette période de guerre dans l’est de la République démocratique du Congo, a été expliquée à la jeunesse congolaise, lors d’une journée d’éveil patriotique organisée mercredi à Kinshasa.
Nous devons briser les murs qui nous divisent et construire des ponts qui nous unissent.
M. Mpoyi a, enfin, appelé les jeunes à choisir une méthodologie de la fierté, de la dignité et de la résilience, en portant haut l’identité, la culture et l’histoire de la RDC.
(…) La ville de Bukavu est sous l’emprise des rebelles, les jeunes que nous sommes, que faisons-nous ?
Essayons de proposer des solutions ensemble en présentant une feuille de route que nous allons proposer au Président de la République », a-t-il conclu.
M’pongo love alors âge de 34 ans quittait la terre des hommes aux Cliniques Universitaires de Kinshasa, des suites d’une méningite cérébrale.
Pour l’histoire, c’est école Notre-Dame de Boma, où elle s’initiera au chant au sein de la chorale de l’église.
À 19 ans, elle prend alors son nom de scène de “M’pongo Love” et crée son propre orchestre qu’elle appellera “Tcheke Tcheke Love”.
La séparation avec Empompo en 1980 permettra à M’pongo love de devenir productrice de ses albums sous le label “Love’s Music” avec des sorties depuis Paris, de plusieurs albums, dont “L’Afrique danse avec M’pongo Love”, “Vivre avec toi” et “Partager”.
15 janvier 1990, la maladie qui la consumait depuis le Gabon où elle s’était installé, l’emporta à kinshasa, revenu pour des soins appropriés.