RDC : le nombre des facilitateurs du processus de paix SADC-EAC passe de 3 à 5

Cette modernisation permet non seulement la fluidité des échanges, mais aussi de réduire considérablement les coûts logistiques et les risques liés aux trajets difficiles« .
L’Agence Congolaise des Grands Travaux (AGCT) qui exécutent ces travaux à travers l’entreprise Sino-Congolaise s’en félicite : « La promesse du chef de l’État était de relier Kikwit à Idiofa par une route asphaltée.
Une route bicouche, asphaltée, voit progressivement le jour depuis le croisement de la RN1 et de la RN20.
La finalisation de la RN20 sera un levier économique majeur pour le territoire d’Idiofa.
Grâce à cette route modernisée, les agriculteurs pourront acheminer leurs produits agricoles vers les marchés de Kikwit et Kinshasa de manière plus rapide et sécurisée.

Le programme est dénoncé par les mouvements progressistes qui ont organisé un ultime rassemblement à Washington en parallèle à l’investiture.
Le dernier acte militant des organisations de gauche semble bien dérisoire face à la déferlante MAGA qui occupe tout l’espace public en ce jour d’investiture.
C’est vrai que ça a été une élection libre et transparente, on ne peut pas faire grand-chose à part se préparer à ce qui arrive.
Les gens ont peur de ce qui va passer aujourd’hui, je pense qu’ils font profil bas en attendant la tempête.
»Une montagne à affronterLes comités de soutien à la cause palestinienne, les ONG de défense des droits LGBT et les rares syndicalistes qui prennent la parole promettent de se battre.

2024 (ACP).- Le plan de partage des bénéfices tirés de la vente de crédit carbone avec les communautés locales de la province du Maï-Ndombe dans le sud-ouest de la République démocratique du Congo (RDC) a été dévoilé, lors d’un webinaire organisé par la société Wildlife works carbon RDC, a appris l’ACP mercredi des organisateurs.
« Dans notre modèle, le plan de partage des bénéfices prévoit que les communautés locales puissent obtenir 25 % de la valeur de vente de crédits carbone, ensuite les bénéfices sont partagés 50 %, 50 % entre nous, la société et l’État congolais », a déclaré le professeur Jean-Robert Bwangoy, administrateur gérant de Wildlife works carbon RDC.
« La forêt doit profiter à la communauté, car c’est elle qui l’a protégée pendant des millénaires.
M. Jean-Robert Bwangoy a indiqué qu’avant que son entreprise se spécialise dans la vente du crédit carbone elle avait enregistré des résultats très mitigés.
En novembre 2012, nous avons eu les premiers crédits, deux millions de tonnes que nous n’avions pas pu vendre.