Paris : le préfet de police saisi pour interdire le concert de soutien aux enfants victimes de la guerre dans l’Est de la RDC

”, “Briser le poids d’être femme ”, “ Prières pour une femme enceinte ” qui sont disponibles à Kinshasa, ont été rédigés avec minutie et passion, pour inspirer les femmes, les encourager et les accompagner dans leur parcours », a déclaré l’écrivaine Cathy Katanku Mwayuma.
Pour l’auteure, la femme est appelée à faire un meilleur usage de son capital temps pour être plus efficace, mieux s’organiser, fixer les objectifs et les priorités.
Trop souvent, la société, la culture et même certaines traditions religieuses ont enfermé la femme dans des carcans qu’elle n’a jamais choisis.
S’Il l’a créée avec un potentiel, c’est pour qu’elle le libère, pas pour qu’elle le porte comme un fardeau.
Médecin de formation et servante de Dieu, Cathy Katanku Mwayuma est une auteure congolaise de plusieurs livres, notamment :“ Jeune fille, va plus loin dans tes études ”, “ Une femme, une influence ”.

Kinshasa, 4 février 2025 (ACP).- Le mode de vie, l’accoutrement propre, la croyance en l’être suprême, et l’organisation de la société en Afrique avant l’arrivée des colonisateurs, ont constitué l’essentiel de la thématique du film » Prince de Nubie, légende de Balthazar », a expliqué dimanche son réalisateur à l’issue de sa première projection à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo.
<< Le peuple noir d’Afrique avait un mode vie normale, un accoutrement propre, une croyance en l’être suprême, une façon d’organiser la société bien avant l’arrivée des colonisateurs. Au-delà de la fiction, le film décrit les us et coutumes d’antan des populations noires et présentent des sites pittoresques de l’Afrique profonde, en se référant à l’évolution des civilisations. << La Nubie est une ancienne civilisation située au sud de l’Égypte, dans l’actuel Soudan, marquée par sa position géographique stratégique et ses ressources naturelles. Selon Haldi Okudheyo, le film » Prince de Nubie, légende de Balthazar » est un long métrage dont les actions se sont déroulées dans plusieurs sites naturels du pays.

“Concernant la Constitution, nous voulons mieux faire, et nous sommes souverains, nous discutons avec le souverain primaire.
Pour ce membre du gouvernement, revisiter ou changer la loi fondamentale est une pratique normale dans tout État démocratique.
Mais ici, on veut faire croire aux Congolais que revisiter un article ou une Constitution est un crime.
Le débat autour de la révision ou du changement de la Constitution continue de diviser la classe sociopolitique congolaise.
Ils prévoient d’organiser prochainement des manifestations pacifiques à Kinshasa et dans d’autres régions pour exiger le respect de l’actuelle Constitution.