Opération d’assainissement «Jeune Kintambo Salongo» : curage des caniveaux dans une commune de Kinshasa

En dénonçant ces actes, qui se produisent autour de vous ou sur les réseaux sociaux, vous devenez des acteurs du changement.
«Aujourd’hui, je me tiens devant vous pour aborder un sujet qui nous concerne tous : les violences basées sur le genre.
Par ailleurs, elle a appelé les bénéficiaires à ne pas laisser la place à la peur, à la honte ou encore au silence.
Le Réseau National des Femmes Actives pour le Développement est une structure qui promeut les droits des femmes, des enfants et des personnes vulnérables.
Cette initiative du gouvernement est un salut pour la nouvelle génération», a- t-il martelé.

Ce 18 décembre 2024 encore, le principal hôpital de la ville a été bombardé par les Forces de soutien rapide (FSR) du général Mohamed Hamdane Dogolo dit Hemedti.
Selon le syndicat des médecins soudanais, qui tente de comptabiliser les victimes de ce conflit, 18 civils sont décédés et plus d’une vingtaine gravement blessés dans le bombardement du principal hôpital de la ville.
Et, depuis, les tirs et les combats avec l’armée – qui, elle, contrôle le centre-ville – sont quotidiens.
Réunion du Conseil de sécurité de l’ONUL’armée et les FSR se battent pour le contrôle de cette dernière grande ville du Darfour.
Les deux parties sont régulièrement accusées de cibler sans distinction les civils et les installations médicales.

Après plusieurs jours, le gouvernement découvre la maladie « inconnue » qui a causé plusieurs morts dans la zone de santé de Panzi, dans la province du Kwango.
Selon le compte-rendu du Conseil des ministres du vendredi 27 décembre 2024, un virus de la grippe, la malnutrition et le paludisme sont les causes de ces cas de décès relevés dans cette partie du pays.
« Quant à la situation qui prévaut dans la zone de santé de Panzi dans la province du Kwango, les résultats des laboratoires indiquent qu’il s’agit d’un virus de la grippe ainsi qu’une situation de malnutrition et de paludisme due entre autres à l’insuffisance d’équipements et de ressources locales et à la faible couverture des soins de santé dans la zone », a fait savoir le porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya.
Selon lui, le ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévoyance Sociale a rassuré de la mise en place des mécanismes de prévention et de riposte pour endiguer cette situation virologique.
Entre le 24 octobre et le 5 décembre 2024, 406 cas d’une maladie inconnue ont été enregistrés dans cette zone de santé.