Kinshasa : la maximisation des recettes par la Police nationale, objet d’une réunion de travail

Une accalmie s’observe ce mardi 18 mars dans le groupement de Mudusa, principalement à Nyantende dans le territoire de Kabare (Sud-Kivu), après des échanges de tirs, la veille, entre les rebelles du M23 et les Wazalendo mêlés aux combattants Maï-Maï.
La même source précise que les corps des victimes ne sont pas identifiés et que Nyantende est toujours sous le contrôle du M23.
Un peu plus loin au sud, précisément à Nyangezi, les balles ont aussi crépité mais il n’y a pas eu d’affrontements directs entre les Wazalendo et le M23.
Les Wazalendo ont fait incursion sur la colline d’où ils se sont mis à tirer dans tous les sens, créant ainsi la panique au sein de la population.
Cette dernière confirme que le marché et les boutiques de Munya ont immédiatement fermé lundi.

“Chaque vie humaine victime de cet attentat est une terrible tragédie et une vie humaine de trop”.
Samedi, on ne savait toujours pas ce qui avait poussé l’homme à foncer dans la foule dans la ville de Magdebourg, dans l’est de l’Allemagne.
La présidente de la Commission européenne et le secrétaire général de l’OTAN ont également exprimé leurs condoléances sur X.
“Scènes horribles sur un marché de Noël à Magdebourg”, a écrit le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte.
La maire de Magdebourg, Simone Borris, a déclaré que les autorités prévoyaient d’organiser une commémoration dans la cathédrale de la ville samedi.

Le Parti Envol exige la remise en liberté “immédiate” et “sans conditions” de son cadre Merdi Mazengo arrêté au quartier Camp Luka, dans la commune de Kintambo (Kinshasa) et actuellement détenu au Parquet près le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe.
Dans un communiqué publié ce week-end, ce parti de l’opposition accuse le vice-ministre de la Justice, Samuel Mbemba, d’abuser de son influence pour mobiliser, de manière illégale, la Police du sous-commissariat de Camp Luka, afin d’intimider et de procéder à l’arrestation de Monsieur Merdi MAZENGO.
“Par la suite, le précité manipule le Parquet près le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe pour prolonger cette persécution judiciaire, transformant ainsi la justice en un outil d’humiliation et de répression, à l’encontre d’un adversaire politique”, souligne Envol dans son communiqué.
Pour Envol, “Ces actes du régime de l’UNION SACREE, sous Félix TSHISEKEDI, traduisent une volonté manifeste de museler les activités légitimes de l’opposition et de faire taire une voix discordante dans le quartier Camp Luka en violation des articles 6 et 15 de la loi portant statut de l’opposition politique”.