Haut-Katanga : le gouverneur Kyabula soutient le projet privé d’ériger une nouvelle cité moderne sur dix millions de mètres carrés dans la commune annexe

Des témoins rapportent que des détonations d’armes lourdes et légères ont été entendus, entre 5 heures du matin et 10 heures locales, et se sont prolongées autour de 17 heures locales, ce dimanche.
Des sources locales évoquent une autre tentative d’attaques simultanées des rebelles du M23 sur la cité de Sake depuis les montagnes Kiuli, Rutobogo et Vunano.
Selon ces sources, l’armée congolaise et ses alliés ont riposté et ont déjoué le plan de l’ennemi.
Cette situation a paralysé les mouvements des civils, notamment sur les axes Sake-Kirotshe, Sake-Mushaki et Sake-Kimoka Kitshanga.
Plusieurs obus largués par les rebelles sont tombés sur Kimoka, 2 kilomètres du centre de Sake.

2025-01-102025-01-102025-01-102025-01-10Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/deux_etudiants_istm_bukavu_retrouves_mort_ds_une_chambre_hotel.jpgDeux étudiants de l’Institut Supérieur des Techniques Médicales (ISTM) de Bukavu ont été retrouvés sans vie dans une chambre située sur l’avenue de l’Hôpital Général (Texas), au quartier Nkafu, dans la matinée du vendredi 10 janvier 2025.
Les victimes, un jeune homme et une jeune femme, étaient respectivement originaires de Baraka et Bukavu.
L’annonce de ces décès a suscité de nombreuses interrogations et spéculations parmi les habitants et la communauté universitaire.
Dans un communiqué nécrologique, le collège des étudiants de l’ISTM/Bukavu s’est dit bouleversé par cette perte tragique et a invité ses membres à participer aux cérémonies d’hommage qui seront prochainement organisées.
Jusqu’à la rédaction de cet article, les corps des deux étudiants restaient conservés à la morgue de la clinique universitaire de Bukavu, dans l’attente des funérailles.

Jeudi 2 janvier 2025, au lendemain de la fête de nouvel an, il est allé à la rencontre des populations de plusieurs villages parmi lesquels Tubuluku, Mikunga, Ngalakashi ou encore Tshisenga.
« Comme prévu, nous avons repris nos activités de terrain après une brève pause consacrée à la célébration du nouvel an.
Nous avons parcouru plusieurs villages reculés du Kasaï Central, dans des zones encore difficiles d’accès », explique Jean Tshisekedi.
Cette journée, dit-il, a été marquée par des messages d’espoir et d’optimisme partagés avec les populations locales, souvent confrontées à des conditions de vie précaires.
« Nous avons échangé avec elles, écouté leurs préoccupations et, surtout, apporté une vision de solidarité et d’entraide pour l’avenir », a-t-il ajouté.