Éducation : le Service national dote 3 écoles de Ngiri-Ngiri de 600 bancs-pupitres

Mbuji-Mayi, 21 février 2025 (ACP).- La résilience, la consommation de l’énergie solaire et le reboisement, ont été présentés comme des solutions pour s’adapter au réchauffement climatique qui frappe l’environnement, a indiqué un spécialiste en environnement lors d’un entretien, vendredi à Mbuji-Mayi, au Kasaï Oriental, en RD Congo.
Quand nous nous dotons des panneaux solaires par chaque famille par exemple, nous allons essayer de diminuer la coupe de forêts et cela peut nous permettre de nous sauver.
Quand nous détruisons des forêts pour faire l’agriculture, nous sommes aussi responsables de ce changement climatique», a-t-il poursuivi.
Selon lui, le climat étant l’ensemble de conditions atmosphériques, est une grande préoccupation mondiale dans la mesure où ses changements ont des répercussions sur la santé humaine.
«Le climat s‘est beaucoup amplifié, c’est pourquoi c’est devenu très préoccupant dans le sens que dans le changement climatique, il y a l’environnement qui est atteint.

L’Assemblée provinciale de Kinshasa dément les accusations « calomnieuses et diffamatoires » rapportées sur la toile par un petit groupe de son personnel administratif, au sujet d’un doublement des émoluments des députés provinciaux de Kinshasa par le bureau de cet organe délibérant de la ville, en complicité avec ces derniers.
D’autre part, le bureau de l’APK condamne « fermement » les accusations « injustifiées » formulées à son encontre.
« Contrairement à ce qui a été déclaré par ce groupe d’agents administratifs mal intentionnés, le bureau de l’organe délibérant de Kinshasa n’a jamais doublé les émoluments des députés provinciaux de Kinshasa.
Ce groupe d’agents administratifs mal intentionnés ne peut impunément accuser le bureau de l’Assemblée provinciale de Kinshasa et, à travers lui, porter atteinte à l’image de la première institution de la ville-province de Kinshasa.
Le bureau de l’organe délibérant de Kinshasa condamne fermement ces accusations injustifiées », dit le rapporteur de cet organe, Nkongolo André, dans ce même communiqué.

Les actes de violence ne cessent de se multiplier dans les milieux des déplacés de guerre du M23 dans et autour de Goma.
Selon les sources locales, trois personnes ont été grièvement blessées dans la soirée de mardi 7 janvier par un militaire dans le camp des déplacés de Lushagala, situé à l’ouest de Goma.
L’incident est survenu après une altercation entre les civils et le militaire, à la suite d’une tentative de pillage.
Dans un élan de colère, les déplacés ont pris d’assaut le meurtrier, et l’ont lynché.
« Le lynchage d’un militaire, membre d’un groupe de bandits, s’est produit lors d’un pillage dans une maison commerciale à Lushagala.