Grand-Équateur : J-L Bussa invite la population à la cohésion nationale autour du président Tshisekedi

Sur X, ce membre du gouvernement Suminwa révèle qu’un groupe de criminels armés impliqués dans les braquages devenus monnaie courante à Kinshasa, a été appréhendé.
« Un groupe de criminels impliqués dans des braquages à main armée a été appréhendé.
M. Shabani a, en outre, invité la population à la vigilance et à ne pas céder à la «désinformation ».
« Un appel est lancé à la population pour rester vigilante et ne pas céder à la désinformation.
Cette dernière, diffusée par les ennemis de la République, vise à semer la stigmatisation et la division parmi les Congolais dans un contexte de guerre, fragilisant ainsi la nation », a-t-il renchéri.

Le TP Mazembe a fini par abandonner sa tentative de qualification pour la prochaine étape de la Ligue des Champions africaine de la CAF, en s’inclinant (1-0), ce vendredi 10 janvier devant le MC Alger pour la cinquième et avant-dernière journée de cette compétition dans le groupe A.Cette défaite met un terme à leur parcours dans cette compétition, malgré le dernier match qui reste.
Pourtant, les Congolais avaient bien démarré cette rencontre et ont flanché alors qu’il ne fallait pas.
Au stade du 5-Juillet-1962, les corbeaux de Lubumbashi avaient un message à faire passer dans cette compétition et se relever mais ils se sont heurtés devant les algériens.
Les hommes de Lamine N’diaye n’ont pas réussi à renverser la vapeur malgré le but de Bouras sur penalty à la 36e minute de jeu, ce qui les a empêchés de rêver encore plus dans ce tournoi.
C’est une énorme déception pour le TP Mazembe, qui avait fixé cette compétition comme un objectif majeur.

Les violations des droits humains et atteintes recensées s’élèvent à 910 sur la même période, dont 69 % sont imputables aux groupes armés.
Dans les provinces touchées par les conflits, les Forces armées de la RDC (FARDC) sont responsables de 113 des 225 violations attribuées à des acteurs étatiques.
Ces violations incluent des exécutions sommaires, des violences sexuelles et des arrestations arbitraires.
Dans le Nord-Kivu, le M23 se distingue comme le groupe armé ayant perpétré le plus de violations des droits humains, notamment par des attaques ciblées et des exécutions extrajudiciaires.
Les FARDC et la Police nationale congolaise (PNC) sont également pointées du doigt pour des abus dans plusieurs provinces.