Crimes dans l’Est : Samuel Mbemba encourage les Congolais des territoires occupés à fournir des preuves à la CPI

La République démocratique du Congo (RDC) a ratifié la convention de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) sur l’enseignement technique et professionnel.
Le projet a été inscrit parmi les textes de la loi d’habilitation du gouvernement, promulguée par le chef de l’État.
La mise en œuvre de cette convention est conforme aux dispositions constitutionnelles et à la législation de chaque État contractant, comme le stipule l’article 129 de la Constitution.
Cette convention garantit un traitement équitable de toutes les parties prenantes, en bannissant toute forme de discrimination.
Il est important de souligner que cette convention de l’UNESCO englobe tous les niveaux et les formes d’enseignement technique et professionnel.

Le gouvernement de la République démocratique du Congo a interdit l’exportation de certains produits miniers marchands pour une durée de quatre mois, renouvelable après évaluation.
Selon une note circulaire signée le 6 mars 2025, cette interdiction concerne les hydroxydes de cobalt, les alliages blancs, les carbonates de cobalt et les concentrés mixtes cuivre-cobalt.
La mesure a été prise conjointement par le Vice-Premier ministre chargé de l’Économie nationale, Daniel Mukoko Samba, le ministre des Mines par intérim, Didier M’Pambia Musanga, et le ministre du Commerce extérieur, Julien Paluku Kahongya.
Le document précise que cette interdiction vise à aligner la commercialisation et l’exportation des ressources minières sur la politique gouvernementale et repose sur les dispositions du Code minier et de l’arrêté interministériel du 14 août 2023 réglementant l’exportation des produits miniers marchands.
Une commission présidée par le directeur général de l’ARECOMS a été mise en place pour examiner le sort des produits miniers déjà certifiés pour l’exportation avant l’entrée en vigueur de l’interdiction.

Kinshasa, 11 décembre 2024 (ACP).- La Commission européenne a annoncé mercredi investir 170 millions dans la surveillance des frontières de l’Union européenne avec la Russie et la Biélorussie, a appris l’ACP d’un communiqué cité par les médias internationaux.
Certains Etats membres, tels que la Pologne et la Finlande, bénéficieront ainsi d’un financement, selon la source.
L’Estonie, la Lettonie, la Lituanie ainsi que la Norvège bénéficieront également de ce fonds européen.
La Finlande, qui partage une frontière de 1.340 kilomètres avec la Russie, accuse notamment Moscou d’encourager les migrants de pays tels que la Syrie ou la Somalie à franchir la frontière.
La Pologne s’est, quant à elle, inquiétée du fait que la Biélorussie offrait une voie d’accès non officielle à l’Europe aux migrants.