Contentieux international : Samuel Mbemba invite les victimes de l’agression rwandaise à Goma et à Bukavu à faire parvenir les preuves au ministère de la Justice (Point de presse)

Les recettes publiques intérieures réalisées du 1er janvier au 31 décembre 2024 en République démocratique du Congo se sont élevées de manière provisoire à 25.188,6 milliards CDF, soit environ 8.870 milliards USD contre une prévision de 24.407 milliards CDF, selon un communiqué consulté samedi par l’ACP.
« Les recettes intérieures réalisées au cours de la période du 1er janvier au 31 décembre 2024 s’élèvent de manière provisoire à 25.188,6 milliards de CDF, équivalent à environ 8.870 milliards USD.
Comparées à l’année 2023 dont les recettes réalisées se situaient à 19.818,1 milliards de CDF pour les assignations budgétaires de 22.486,4 Mds CDF, soit un taux de réalisation de 88%.
Il se dégage, entre les deux exercices, une augmentation de 27% en CDF et de 19% en USD.
Les recettes administratives, collectées par la Direction générale des recettes administratives, domaniales, judiciaires et de participations (DGRAD), elles se sont établies à 4.319 milliards CDF contre une prévision de 4.264 milliards CDF, soit 101% de réalisation.

Selon le gouverneur, deux des suspects auraient directement participé au meurtre, tandis que les deux autres, arrêtés en possession du téléphone du journaliste, sont considérés comme complices.
“Nous avons promis de travailler dur pour arrêter tous ceux impliqués dans le meurtre d’Adonis.
Les premières enquêtes avaient conduit à l’arrestation et à la condamnation de plusieurs suspects, mais nous savions qu’il s’agissait d’un premier lot.
Les deux autres suspects ont participé à la vente du téléphone d’Adonis.
Lors de cette procédure en flagrance, huit des onze prévenus avaient été condamnés à la peine de mort.

Cette étude avance qu’en République Démocratique du Congo, la véritable représentativité des partis politiques est obscurcie par la prolifération des regroupements politiques au grand dam de la stabilité des institutions démocratiques.
« Il est crucial de reconnaître et de préserver le rôle constitutionnel des partis politiques, car ils demeurent les courroies de transmission entre les citoyens et les pouvoirs publics.
Parmi les 5, le parti AFDC se démarque au sein AFDC-A avec 38 députés nationaux, soit 90 % des élus du regroupement politique.
L’UNC, avec 36 députés, représente 87 % des élus de son regroupement.
L’APOCM s’impose avec 13 sièges (59 % des élus du regroupement AAAP), tandis que le BUREC compte 12 députés (57,1 % des élus de l’A/B50).