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Mbandaka, 07 Janvier 2025 (ACP).- Le prix des poissons a été revu à la hausse à Mbandaka, chef-lieu de la province de l’Equateur, à l’ouest de la République démocratique du Congo, a constaté l’ACP mardi.
« Le prix de poisson a connu une hausse ce dernier temps à Mbandaka du fait que les pêcheurs ne viennent pas nombreux après les fêtes de nouvel an.
Nous achetons les poissons cher, c’est pourquoi nous devons revendre aussi cher pour trouver une marge de bénéfice », a déclaré Lydie Emeka, une vendeuse de poissons au marché central de Bolodjwa.
Selon des pêcheurs cités par Mme Marie Bondegela, vendeuse de poissons au marché de Mbandaka 3 : « les poissons se font rares à cause de la montée des eaux du fleuve.
Rappelons que la hausse de prix de poissons est signalée dans plusieurs campements et villages de la province de l’Equateur.

Dressant le bilan de ces échanges, le révérend Éric Nsenga a, au nom de la délégation, souligné l’importance de préparer le grand forum à venir, visant à mettre un terme à la crise qui fragilise et humilie la République Démocratique du Congo aux yeux du monde.
« Nous avons présenté notre initiative au président Martin Fayulu, et il l’a accueillie avec intérêt.
L’objectif est de mettre un terme à cette crise qui fragilise notre pays et nous humilie aux yeux du monde », rapporte le compte-rendu de ces assises.
En outre, il a mis l’accent sur l’approche retenue par les chefs religieux pour aboutir à « ce pacte social ».
Ce que nous avons présenté aujourd’hui est une feuille de route qui éclaire les voies à emprunter pour parvenir à cet objectif », a-t-il conclu.

Judith Suminwa Tuluka, patronne de l’exécutif central s’est dit convaincue que ce forum sera riche en enseignements et perspectives nouvelles pour la performance du système de formation en RDC et souhaite, à tous les participants de fructueux travaux.
Il a réaffirmé l’engagement du gouvernement de la RDC d’appliquer les résolutions qui seront issues de ces travaux.
C’est donc là le reflet clair de la volonté de la RDC à s’inscrire dans la dynamique régionale de la CEEAC”, a souligné le ministre Marc Ekila.
Si le continent arrive à développer et à exploiter les talents de cette population jeune et instruite et à l’orienter vers les secteurs les plus productifs, ceci constituera des opportunités sans précédents pour son développement économique et social.
Le corolaire d’une telle situation est le risque non négligeable des menaces à la cohésion sociale et à la stabilité politique.