L’Iran soutient la souveraineté nationale de la République démocratique du Congo

2025-03-172025-03-172025-03-172025-03-17Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/17-23/tina_salama_17_mars_2025.jpgMalgré le refus catégorique de la rébellion de l’AFC/M23, la partie congolaise annonce qu’elle acceptera sans condition l’invitation de l’Angola au dialogue de Luanda, qui portera sur le rétablissement de la paix dans l’est du pays.
C’est ce qu’a annoncé lundi soir Tina Salama, porte-parole du président de la République démocratique du Congo (RDC).
Elle a expliqué que la délégation congolaise, déjà présente à Luanda, participera bel et bien aux pourparlers de paix, facilités par João Lourenço, ce mardi 18 mars 2025.
Même si Tina Salama l’affirme avec conviction, il convient de se demander avec qui Kinshasa négociera réellement, étant donné que les rebelles impliqués dans ce processus ont déjà exprimé leur opposition.
Tous les regards restent fixés sur Luanda, pour voir l’issue de l’affaire mardi, lorsque les parties prenantes se réuniront à la table des négociations sans le M23/AFC.

Dans le bilan des activités réalisées dans le premier protocole de 2022-2025, l’ambassadeur a évoqué notamment les projets en cours d’exécution, les projets à l’Est de la RDC et les solides projets.
Rémi Maréchaux a rappelé les évènements marquants de ce protocole en 2024.
Le diplomate a par ailleurs, salué les bonnes relations diplomatiques entre la RDC et la France.
Il définit par ailleurs les secteurs prioritaires des engagements en prêts souverains (énergie, eau, ville durable, numérique, agriculture)», a–t-elle dit.
Elle a fait savoir que sur ces instruments financiers, 200 millions d’euros constituent les dons à savoir: la subvention de l’Etat français, les subventions déléguées et le contrat de désendettement développement.

Kinshasa, 16 mars 2025 (ACP).- L’importance des approches intersectionnelles pour la consolidation de la paix locale a été soulignée à New-York, aux Etats-Unis, par le Réseau mondial des femmes artisanes de la paix (GNWP) du Canada, de la Colombie et de la République démocratique du Congo (RDC), a-t-on appris dimanche de source officielle.
Et ceci à travers une réglementation du cadre légal et institutionnel et des projets spécifiques.
« Je prends l’exemple des femmes congolaises qui, malgré les violences et les discriminations auxquelles elles font face, elles se sont levées comme des piliers de la paix et de la résilience.
« Nous devons travailler ensemble, en écoutant et en intégrant les perspectives variées des communautés locales.
C’est en unissant nos efforts et en reconnaissant la diversité des expériences que nous pourrons créer des solutions qui résonnent véritablement sur le terrain.