L’Iran condamne l’attaque terroriste contre une mosquée dans le sud-ouest du Niger

Kinshasa, 9 décembre 2024 (ACP/Xinhua).- La Turquie va s’engager en faveur du retour en toute sécurité des réfugiés syriens résidant dans le pays, a annoncé lundi le ministère turc des Affaires étrangères lors de la 15ème Conférence des ambassadeurs dans la capitale Ankara, selon l’Agence Chine nouvelle.
« Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour assurer leur sécurité et leur retour en toute dignité », a déclaré Hakan Fidan, ministre turc des Affaires étrangères.
Le chef de la diplomatie turque a ajouté que son pays était disposé à soutenir et coordonner les efforts avec toutes les parties prenantes en vue de garantir l’intégrité territoriale et la stabilité de la Syrie.
Selon M. Peskov, la Russie prend toutes les précautions nécessaires pour assurer la sécurité de ses bases en Syrie.
Les combattants ne sont pas entrés dans les bases russes de Tartous et Hmeimim et les bases poursuivent leurs opérations comme à l’accoutumée, selon la source.

Trois personnes ont été brulées vives et dix autres blessées à la suite d’un accrochage survenu, samedi 4 janvier, entre les ethnies Logo et Zande, au village Sambia, territoire de Dungu (Haut-Uélé).
Selon la société civile locale, des maisons ont été incendiées et environ 40 000 habitants de la localité de Sambia ont fui leurs villages, à la suite d’un conflit de limites territoriales opposant ces deux communautés.
Qu’ils (autorités Ndlr) viennent donner à la population la vraie limite qui remonte à l’époque coloniale.
Nous les appelons à venir mettre fin à cette histoire».
Mais la tension persiste entre les deux communautés, malgré les appels au calme des autorités provinciales et des élus locaux, indiquent des sources locales.

Plus de 1 000 blessés ont été pris en charge dans les hôpitaux de Goma entre le 23 et le 28 janvier, à la suite des affrontements intenses opposant les forces armées congolaises aux rebelles du M23, a alerté jeudi le Coordonnateur humanitaire des Nations unies en RDC, Bruno Lemarquis.
La majorité des victimes sont des civils touchés par des tirs de balles et des explosions d’artillerie lourde.
Système de santé sous pressionLes infrastructures médicales de Goma, déjà fragilisées par des années de conflit, peinent à absorber l’afflux de patients.
Un effondrement des services de baseAu-delà de la crise médicale, la ville fait face à une détérioration rapide des conditions de vie.
Les morgues sont saturées, et des corps sans vie jonchent certaines rues, posant un grave risque sanitaire pour les survivants.