Day: March 23, 2025

Kinshasa, 23 mars 2025 (ACP).- Une formation en arts plastiques, esthétique ainsi qu’en coupe et couture, axée sur la vulgarisation des messages contre les violences conjugales, a été organisée samedi à Kasa-Vubu (centre de Kinshasa), en République démocratique du Congo, à l’intention d’une trentaine d’apprenants, en marge des activités du mois de la femme.
Après avoir bénéficié de cette formation certifiée, les participants ont exprimé leur satisfaction et leur engagement à mettre en pratique tout ce qu’ils ont appris.
Je voudrais honorer les organisateurs de cette conférence et les remercier (…).
« Nous nous engageons, à travers cette activité, à défendre ce que nous avons appris.
J’invite toutes les filles et les mamans également à venir apprendre, au lieu de croiser les bras.

2025-03-232025-03-232025-03-232025-03-23Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/17-23/union_sacree_les_senateurs_de_l_udps_et_mosaiques_en_guerre_contre_andre_mbata_23_mars_2025.jpgLes sénateurs de l’UDPS -Union pour la démocratie et le progrès social- ont rejeté la restructuration du Présidium de l’Union sacrée, publiée récemment par le secrétaire permanent, André Mbata.
Ils sollicitent, dès lors, l’implication du chef de l’État, Félix Tshisekedi, haute autorité de l’Union sacrée, dans la restructuration.
“La nomination sélective et partisane des membres du Présidium sur base de clientélisme et népotisme.
Ils recommandent la prise en compte des critères du poids politique des partis et regroupements politiques dans la prise des décisions.
Ces sénateurs exigent la restructuration profonde de l’Union sacrée, tout en commençant par le Présidium et le secrétariat permanent.

2025-03-232025-03-232025-03-232025-03-23Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/17-23/kagame_paul_23_mars_2025.jpgLe gouvernement rwandais a salué, dimanche 23 mars, l’annonce du retrait des rebelles de l’Alliance fleuve Congo (AFC-M23) de Walikale centre, dans la province du Nord-Kivu, une localité dont les rebelles avaient pris le contrôle le 19 mars.
Les FARDC prennent acte du retrait des rebellesDe leur côté, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont également pris acte de ce retrait.
Les négociations directes entre l’AFC-M23 et le gouvernement, prévues pour le 18 mars dernier à Luanda sous la médiation du président angolais Joao Lourenço, n’ont pas eu lieu en raison du boycott des rebelles.
Depuis plus de deux ans, les rebelles de l’AFC-M23, soutenus par l’armée rwandaise, ont intensifié leurs offensives dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Ils ont pris le contrôle de plusieurs localités stratégiques, notamment Goma et Bukavu, aggravant la crise humanitaire et sécuritaire dans la région.

Selon lui, le Vice-premier ministre joue “le rôle le plus vilain”, en cherchant à “calomnier son ancien chef, Joseph Kabila, et à diviser les Congolais”.
Jean-Pierre Bemba, aujourd’hui membre du Gouvernement central, a récemment insinué que Joseph Kabila ne serait pas Congolais, mais plutôt Rwandais.
Une accusation grave dans le contexte actuel, où la question de la souveraineté nationale et des ingérences étrangères est particulièrement sensible.
L’opposition et les partisans de Joseph Kabila dénoncent une tentative de diversion face aux défis sécuritaires et économiques du pays.
De son côté, Jean-Pierre Bemba semble déterminé à maintenir la pression sur l’ancien régime, en l’accusant d’être à la source des troubles sécuritaires actuels.

Dans un communiqué officiel, les FARDC ont exprimé leur engagement à ne mener aucune action offensive contre les groupes armés présents dans la région.
Elles ont également exhorté les forces d’autodéfense congolaises à adopter une posture similaire, soulignant l’importance de cette retenue pour favoriser la désescalade des tensions.
En parallèle, la poursuite des discussions de paix, notamment celles entamées lors des processus de Luanda et de Nairobi, reste au cœur des priorités des autorités congolaises.
Ces discussions visent à trouver une solution politique et diplomatique à la crise qui secoue la région des Grands Lacs.
Dans ce contexte de fragilité, les autorités congolaises soulignent qu’elles restent résolues à protéger les civils et garantir la souveraineté du pays.

2025-03-232025-03-232025-03-232025-03-23Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/17-23/chef_etat_major_fardc_jules_banza_en_mission_inspection_a_kisangani_23_mars_2025.jpgLe lieutenant-général Jules Banza, Chef d’État-Major Général des FARDC -Forces Armées de la République démocratique du Congo-, est arrivé, ce dimanche 23 mars 2025, à Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo, dans le cadre d’une mission officielle d’inspection et de commandement.
À son arrivée à l’aéroport international de Kisangani, il a été accueilli par le lieutenant-général Pacifique Masunzu ainsi que les autorités civiles et militaires locales.
Cette visite s’inscrit dans une tournée nationale visant à évaluer les dispositifs sécuritaires et les conditions opérationnelles des unités militaires déployées à travers le pays, en particulier dans la 3ᵉ zone de défense.
Au cours de son séjour, le lieutenant-général Jules Banza prévoit de visiter plusieurs sites militaires stratégiques de la région.
Cette tournée d’évaluation témoignerait de la volonté des autorités militaires congolaises d’assurer un contrôle rigoureux des Forces engagées dans la protection du territoire national et de l’intégrité du pays.

Kinshasa, 23 mars 2025 (ACP/IRNA).- La République Islamique d’Iran a exprimé son inquiétude face à l’escalade des conflits dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), soulignant son soutien à la souveraineté nationale et à l’intégrité territoriale du pays, selon le porte-parole de la diplomatie iranienne cité dimanche par l’IRNA.
L’Iran condamne l’attaque terroriste contre une mosquée dans le sud-ouest du NigerEn outre, le porte-parole du ministère iranien des affaires étrangères, M. Baghaï, a fermement condamné l’attaque terroriste contre une mosquée dans le sud-ouest du Niger.
Il a souligné l’importance d’améliorer encore la coopération et la coordination aux différents niveaux régionaux et internationaux pour prévenir et combattre le terrorisme.
« Il est nécessaire de poursuivre et de punir les auteurs et les instigateurs d’attaques terroristes », a-t-il dit.
Baghaï a exprimé sa sympathie aux familles des victimes ainsi qu’au Gouvernement et à la nation nigérienne à la suite de cette attaque terroriste.ACP/