RDC: examen de la problématique de la Politique nationale sur la faune sauvage

Le gouverneur de la province du Haut-Katanga, Jacques Kyabula Katwe, a prolongé le couvre-feu à Lubumbashi et Likasi pour une durée supplémentaire de 15 jours à dater de ce dimanche 23 février, soit jusqu’au 6 mars prochain.
L’ONG Justicia Asbl, spécialisée dans la défense des droits de l’homme, a exprimé son soutien à cette prolongation.
Il a plaidé pour des mesures correctives, notamment dans des quartiers où des bandits continuent d’opérer avant l’heure du couvre-feu dans des zones peu éclairées et mal sécurisées.
« Justicia Asbl après avoir fait le monitoring est arrivé à la conclusion que les cas d’insécurité ont effectivement diminué très sensiblement dans la ville de Lubumbashi et ses environs et cela est dû au couvre-feu.
Justicia demande que les autorités renforcent les patrouilles et prennent des mesures pour éviter que les points de contrôle ne se transforment en barrières pour rançonner les personnes qui rentrent à la maison à des heures tardives pour une raison ou une autre.

Vérification des faitsFace à la propagation de cette fausse nouvelle, Stanis Bujakera a rapidement démenti sur son compte X :“L’information selon laquelle la paie des fonctionnaires est suspendue jusqu’à la récupération des territoires occupés par les rebelles est totalement fausse.
La paie des agents et fonctionnaires de l’État congolais suit son cours normal.
Il appelle par ailleurs les fonctionnaires à rester vigilants face aux fausses informations, particulièrement dans le contexte actuel à l’Est du pays (https://x.com/fp_rdc/status/1884385813468688725?s=46).
ConclusionLe gouvernement de la RDC n’a pas suspendu la paie des fonctionnaires.
La nouvelle relayée sur les réseaux sociaux est fausse et constitue une fake news de rumeur.

«En ce qui concerne la mobilisation des recettes, nous avons deux sources : les recettes fiscales, les impôts et, non fiscales, les taxes.
Les vendeurs installés le long des artères et des ronds-points dans la commune de Lingwala doivent payer les taxes, ce qu’ils ne font pas occasionnant ainsi une fuite des recettes pour la commune», a déploré Mme Buanga Petronie, Administrateur adjointe du marché Kalembelembe.
Selon la source, «les vendeurs qui sont installés au marché paient les taxes à 200 Fc par table ».
Mais jusqu’à présent, ils ne veulent pas s’installer au marché.
Les responsables du marché Kalembelembe ont par ailleurs plaidé auprès de l’autorité urbaine pour la révision du prix de la taxe d’étalage à 500FC pour les aider à pallier aux éventuels besoins liés notamment à la sécurité des biens des vendeurs.