Day: March 22, 2025

Depuis le mois de février, nous faisons face à des affrontements ,entre les Wazalendo et les Twigwaneho/M23.
Nous avons fui dans la forêt et ici nous sommes sans aucune assistance.
Elewano Ishimwindula indique que c’est plus de 1 mois et demi qu’ils sont dans la forêt et les gens vivent des moments pénibles.”
Il y a vraiment beaucoup des personnes déplacées et qui sont dans la forêt”, note M. Elewano.
Pour l’instant, le chef du secteur d’Itombwe appelle à l’assistance des humanitaires, des autorités et des personnes de bonne volonté pour secourir ces compatriotes en difficulté.”

« Notre priorité est de répondre à la crise et d’assurer une paix durable », a-t-il souligné.
La rencontre virtuelle à venir devra notamment formaliser cette fusion et acter une feuille de route commune.
Si des engagements ont été annoncés, la mise en œuvre d’un véritable cessez-le-feu n’est pas encore acquise.
Outre la situation en RDC, MM.
Ruto et Mnangagwa ont aussi convenu de renforcer l’intégration régionale à travers l’Accord de libre-échange tripartite (EAC-SADC-COMESA) et de soutenir la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), selon le communiqué du président kényan.

Le Bureau Conjoint des Nations Unies pour les Droits de l’Homme (BCNUDH) a rendu public son rapport relatif aux principales tendances de violation des droits de l’homme en RDC pour le mois de janvier.
Au total, 12 incidents de violences liés aux conflits ont été enregistrés, faisant 45 victimes adultes.
Sur ces 12 incidents, le BCNUDH précise que dix concernent les viols collectifs et deux avec vols des biens des victimes.
Parmi les provinces touchées, l’Ituri figure à la tête avec 34 victimes, dont 33 attribuées à la milice CODECO.
Samyr LUKOMBO

Au moins 242 miliciens de la Coopérative pour le Développement du Congo (CODECO) ont été tués au cours de combats qui les ont opposées à l’armée ougandaise (UPDF) du 19 au 20 mars 2025 dans la cité de Fataki, territoire de Djugu, en Ituri.
“Les milices ont attaqué la force de blocage de l’UPDF mercredi et jeudi matin (18-19 mars 2025), mais ont été repoussées à chaque fois, subissant de lourdes pertes.
Trente et un miliciens ont été tués au combat mercredi, et 211 autres sont morts jeudi matin, hier.
Un militaire congolais blessé lors de ces combats à Fataki a été évacué par la MONUSCO vers Bunia pour des soins.
Du 10 au 11 octobre 2024, une session d’évaluation a été tenue à Kinshasa entre les chefs d’états-majors des armées de deux pays.

Les Léopards de la République Démocratique du Congo (RDC) ont fait le service minimum pour clore la phase aller sous les chapeaux des roues.
Desabre pour qui les attentions étaient bien affichées avant l’entame a reproduit un jeu beaucoup plus centré vers l’avant dans un 3-5-2 avec des plus de densité aux-avant-postes.
Projecter beaucoup plus haut, chancel Mbemba dans la première demi-heure de jeu, sera soyeux dans ses débordements et dédoublements aux avant-postes.
Ça faisait très longtemps que nous faisons dans le jeu une première mi-temps de ce niveau.
À la 38è minute.

A Walikale-centre, c’est la psychose et la terreur qui règnent ce samedi 22 mars au lendemain de violents combats entre les rebelles de l’AFC/M23 et les miliciens wazalendo.
Ces derniers ont attaqué la cité vendredi provoquant des combats qui ont duré quatre heures, soit de 15H00 à 18H00 locales.
« Ce sont des jeunes de la cité qui se sont constitués en groupe d’autodéfense.
Il n’y a pas des combats ce samedi.
Les bombardements de drone et de l’avion Soukhoï sont intervenus après l’atterrissage d’un aéronef dont la provenance et la destination restent inconnues.

Charles Kalibiri, le chef du village Malehe, situé dans le groupement Kamuronza en territoire de Masisi au Nord-Kivu, a été abattu par des hommes armés non identifiés dans la soirée, au quartier Birere 1, dans la cité de Sake.
« C’était dans la soirée de ce vendredi 21 mars 2025 que les inconnus armés ont réussi à faire incursion dans la maison du chef du village Malehe monsieur Charles Kalibiri après avoir cassé la fenêtre avec une grosse pierre.
L’information a été confirmée par le chef du groupement Kamuronza, Mwami Bauma Bitsibu Wabulenda, dans une déclaration faite à ACTUALITÉ.CD ce samedi matin.
“Le chef Charles Kalibiri était un leader respecté, engagé pour le développement et la cohésion sociale de son village”, a-t-il déclaré.
Cette recrudescence des assassinats de responsables locaux soulève des inquiétudes sur la sécurité dans la province du Nord-Kivu, déjà fragilisée par la présence de groupes armés et l’instabilité persistante.

Les rebelles avertissent cependant que toute attaque des forces armées congolaises (FARDC) contre leurs positions ou contre les populations dans les zones qu’ils contrôlent entraînera l’annulation immédiate de leur décision de retrait.
Mais selon des sources locales consultées par ACTUALITE.CD, à 14h, heure locale, les combattants de l’AFC/M23 étaient encore présents dans la cité.
Dans la matinée, de nouvelles frappes aériennes de l’armée congolaise ont visé l’aérodrome de Kigoma, selon ces mêmes sources.
Des combats violents ont éclaté vendredi dans la cité entre les rebelles et des miliciens dits “wazalendo”, provoquant une nouvelle journée de panique.
Ces frappes ont suivi un mystérieux atterrissage observé plus tôt dans la journée sur l’aérodrome, dont la provenance, la destination et la cargaison restent inconnues.

Dans un communiqué de presse publié en date du 21 mars 2024, la défense de l’homme d’affaires indien rassure le public sur l’état de santé de leur client et le bon déroulement de la procédure en cours.
Ces conseils fustigent cependant les commentaires malveillants, des fausses informations sur le mobile de l’interpellation de leur client.
Ces supputations risquent d’influencer les enquêteurs et d’attirer, pour notre client, l’hostilité de l’opinion publique », renseigne le communiqué.
Ces Avocats rappellent aussi à la retenue, à la responsabilité de tous et à davantage de professionnalisme des médias, tout en se réservant le droit de poursuivre les auteurs des propos et informations proférées à l’encontre de leur client.
Ils espèrent que les investigations que mènent les services du Conseil National de Cyberdéfense se feront dans le respect des règles des procédures pénales et qu’elles n’aboutiront pas à garder indûment leur client en détention.