Soudan: l’armée annonce avoir repris le palais présidentiel aux paramilitaires

Les FARDC ont tué six miliciens Mobondo et ont récupéré des armes à feu lors des affrontements vendredi 7 février avec cette milice au village Bunsele dans le territoire de Kwamouth, province du Mai-Ndombe.
Selon les sources militaires, les miliciens Mobondo ont attaqué ce village pour tenter de libérer l’un de leurs chefs qui a été arrêté par l’armée, alors qu’il transportait, à bord d’un tracteur, plusieurs munitions de guerre et autres effets militaires.
Cette information est confirmée par le député provincial David Bisaka, élu de Kwamouth qui se félicite du professionnalisme de l’armée qui a « bien protégé la population civile face à cette attaque ».

2025-02-272025-02-272025-02-272025-02-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/24-28/lacroix_deja_a_kinshasa_pour_evaluer_la_situation_dans_les_zones_occupees_par_l_armee_rwandaise.jpgJean-Pierre Lacroix, secrétaire général adjoint des Nations Unies en charge des opérations de maintien de la paix, est arrivé jeudi à Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo (RDC), par l’aéroport international de N’djili.Selon des sources aéroportuaires, l’émissaire des Nations Unies, en provenance de New York et ayant fait une escale à Addis-Abeba, n’a pas fait de déclarations à son arrivée.
La visite de ce haut fonctionnaire français intervient alors que la situation dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, à l’est du pays, est particulièrement alarmante.
Ces régions font face à une invasion rwandaise, engendrant un bilan tragique de 7 000 morts, sans que la mise en place d’un couloir humanitaire ne soit envisagée pour venir en aide à la population en détresse.
Cette mission de Lacroix soulève des attentes quant à l’engagement de la communauté internationale face à une crise humanitaire croissante et à la nécessité d’une intervention pour stabiliser la région.

D’après cette formation politique de Delly Sesanga, cette détention est l’œuvre du vice-ministre de la Justice, Samuel Mbemba Kabuya Tanda.
Le parti ENVOL dit ainsi exprimer sa plus vive indignation face à la séquestration arbitraire et injustifiée, depuis plus de 20 jours, de Merdi Mazengo, président sectionnaire d’ENVOL à Camp Luka.
Dans la foulée, Envol soutient que Samuel Mbemba, usant de sa fonction de vice-ministre à la justice dans le gouvernement de Judith Suminwa, instrumentalise les institutions publiques pour des objectifs purement politiques.
Par la suite, le precité manipule le Parquet près le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe pour prolonger cette persécution judiciaire, transformant ainsi la justice en un outil d’humiliation et de répression, à l’encontre d’un adversaire politique », poursuit le communiqué de presse.
Par ailleurs, le parti politique Envol precise que la liberté d’opinion et d’expression n’est pas un crime justifiant l’arbitraire et l’intimidation des détenteurs du pouvoir.