RDC : « Les forêts, une réponse à la désertification et à l’insuffisance alimentaire » (Une experte)

Kinshasa, 12 mars 2025 (ACP).- Un appel a été lancé mercredi à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC), aux femmes congolaises à prendre pleinement conscience de leur pouvoir d’influencer et de transformer la société dans un communiqué parvenu à l’ACP en marge de la journée internationale de droit de la femme.
Selon M. Kabasubabu, la Journée internationale de la femme permet de célébrer le droit à l’égalité, l’autonomisation et l’accès à des opportunités pour toutes les femmes et filles du monde.
« Le thème mondial : « Pour toutes les femmes et filles, droit, égalité et autonomisation », nous rappelle que chaque femme mérite les mêmes droits, les mêmes chances et la possibilité de s’épanouir pleinement dans tous les aspects de sa vie.
À l’échelle nationale, en République démocratique du Congo, le thème choisi : « La Congolaise au centre de toutes les ambitions » incarne l’engagement à faire de la femme un acteur clé du développement, un pilier central dans toutes les sphères de la société ».
Kabasubabu a, en outre, convié les femmes à prendre les rênes de leur destin, à nourrir leur destin, à dépasser les obstacles et à s’affirmer comme les architectes du changement, car la société a besoin d’elles et qu’elles méritent de prendre place au cœur de toutes les ambitions.

A tel point que les enseignants ont fêté sans argent.
Une situation qui, selon lui, crée un malaise social et met en péril la qualité et la gratuité de l’enseignement primaire.
« Il y trop de mouvements de grève, il y a trop d’irrégularités, et tout ça, ça menace et la qualité et la gratuité de l’enseignement.
Et de délocaliser la paie des enseignants de la province du Maï-Ndombe de la Caritas vers une autre banque payeuse », a plaidé le président de l’intersyndicale des enseignants de la province éducationnelle Maï-Ndombe 3.
Les efforts de Radio Okapi pour avoir la réaction de la Caritas Maï-Ndombe à ce sujet, sont restés vains.

Cependant, malgré ses promesses, le projet soulève de nombreux défis, tant sur le plan stratégique qu’opérationnel.
Des défis financiers majeursLe projet repose en grande partie sur des investissements étrangers, notamment en provenance de la Chine et des Émirats Arabes Unis.
Cependant, la dépendance excessive à ces partenariats suscite des inquiétudes, notamment sur la souveraineté économique et la viabilité à long terme.
De plus, la mobilisation des fonds publics reste limitée, laissant planer le doute sur la capacité du CSSPEVK à financer l’ensemble des infrastructures promises.
Pour l’heure, « Kinshasa Kia Mona » reste une promesse sur le papier, dont l’avenir dépendra de la capacité du CSSPEVK à conjuguer ambition et réalisme.