Day: March 21, 2025

Likasi, 21 mars 2025 (ACP).- Une synergie regroupant quelques députés, des avocates et des acteurs de la société civile, en collaboration avec le ministère provincial du Genre, famille et enfant du Haut-Katanga dans le sud-est de la République démocratique du Congo a visité, vendredi, la prison de Boma à Likasi pour s’enquérir des conditions carcérales des détenus.
« Nous sommes venus réconforter les mamans et les hommes incarcérés afin d’examiner l’évolution de leurs dossiers », a-t-il déclaré.
Auparavant, la délégation avait présenté ses civilités au maire de Likasi, Henry Mungomba Tamba qui avait salué cette initiative visant à améliorer les conditions carcérales.
La prison de Boma à Likasi héberge 294 détenus, dont 10 femmes et deux nourrissons, a communiqué à cette occasion le directeur de la prison, Julien Maloba qui a remercié la délégation pour un don des vivres aux prisonniers.
La même synergie des députés et des acteurs de la société civile avait effectué, jeudi, une visite du même genre à la prison de la cité de Kipushi, chef-lieu du territoire de Kipushi dans la province du Haut-Katanga, rappelle-t-on.

Mbandaka, 21 mars 2025 (ACP).- Le rôle de la forêt dans le développement rural a été expliqué vendredi, au cours d’un entretien, à la population de Mbandaka, chef-lieu de la province de l’Équateur, dans l’ouest de la République démocratique du Congo(RDC).
« La forêt est un secteur économique de plus en plus important dans le monde rural grâce aux bois, au tourisme et à la chasse.
Elle peut également constituer une réserve foncière et jouer un rôle structurant pour les infrastructures et les paysages.
« La forêt contribue à la stabilité de l’environnement au bénéfice de la flore, de la faune et de la vie humaine.
Ces forêts produisent naturellement deux types de produits : les produits forestiers ligneux (PFL) et les produits forestiers non ligneux (PFNL).

« Il n’y a rien à cacher nous sommes au Congo, nous savons ce qui se passe au pays.
Ils ne peuvent pas l’exposer comme ça en public pendant que le pays est en guerre.
« On va croiser le fer avec l’organe poursuivant et nous allons tirer le droit de notre côté.
La première audience était consacrée à l’identification des cinq prévenus, suivie de la lecture de leurs décisions de renvoi.
Tous les prévenus sont jugés pour lâcheté, perte des matériels militaires, incitation des militaires à commettre des actes contraires au devoir ou à la discipline et violation des consignes.

Pour Félix Tshisekedi, la République démocratique du Congo ne sera pas balkanisée tant qu’il sera président.
Je vous promets que ça n’arrivera pas, en tout cas pas de mon vivant », a déclaré Félix Tshisekedi 48 heures après sa rencontre surprise avec Paul Kagame.
Ils sont hostiles à la paix et motivés par une soif d’enrichissement personnel, qu’ils assouvissent dans chaque localité qu’ils occupent.
Dans ces conditions, je ne vois pas comment on peut construire quelque chose de solide et de véritable avec ces inféodés.
Pour le président de la République, ces sanctions contre l’agresseur complètent celles prises par d’autres pays partenaires tels que la Grande-Bretagne, le Canada et les États-Unis.

L’Organisation de pêche et de l’aquaculture des lacs Albert et Édouard regroupe des experts congolais et ougandais spécialisés dans la gouvernance de la pêche.
Leur mission principale est de dresser un état des lieux des pratiques de pêche des deux côtés et de mettre en place des mécanismes conjoints pour réglementer les activités de pêche et d’aquaculture.
Il explique :« Notre rôle est d’amener les deux pays à harmoniser la législation et la réglementation dans la pêche comme dans l’aquaculture au niveau des lacs Albert et Édouard.
« Personne ne respecte la réglementation de pêche sur le lac Albert, même les autorités sont impliquées dans la pêche illicite.
Cette initiative bénéficie de l’appui des gouvernements congolais et ougandais, qui reconnaissent l’urgence de préserver les ressources halieutiques des lacs Albert et Édouard.

L’Organisation de pêche et de l’aquaculture des lacs Albert et Édouard regroupe des experts congolais et ougandais spécialisés dans la gouvernance de la pêche.
Leur mission principale est de dresser un état des lieux des pratiques de pêche des deux côtés et de mettre en place des mécanismes conjoints pour réglementer les activités de pêche et d’aquaculture.
Il explique : « Notre rôle est d’amener les deux pays à harmoniser la législation et la réglementation dans la pêche comme dans l’aquaculture au niveau des lacs Albert et Édouard.
« Personne ne respecte la réglementation de pêche sur le lac Albert, même les autorités sont impliquées dans la pêche illicite.
Cette initiative bénéficie de l’appui des gouvernements congolais et ougandais, qui reconnaissent l’urgence de préserver les ressources halieutiques des lacs Albert et Édouard.