“Je ne vois pas comment on peut construire quelque chose de solide et de véritable avec ces inféodés. Il valait mieux discuter avec leur mentor” (Félix Tshisekedi)

La police a eu recours à des gaz lacrymogènes et à des tirs de sommation pour disperser les manifestants.
Voyant de nombreuses motos à l’intérieur, ils en ont profité pour disperser les étudiants et procéder à des pillages… ».
Les échauffourées ont causé d’importants dégâts matériels, notamment des impacts de projectiles sur les murs, des vitres brisées et des auditoires saccagés.
Willy Osako, secrétaire général administratif, a appelé les étudiants au calme :« Restez calmes, les démarches sont en cours pour que le secrétaire général académique soit libéré.
Delphin Luka, secrétaire général académique de l’IBTP/Kisangani, a été interpellé à Kinshasa mercredi 12 mars par des hommes en tenue militaire avant d’être conduit vers une destination inconnue.

Douze personnes, accusées de meurtre, de crimes de guerre, de pillage et de déportation des biens des civils, ainsi que d’association avec des groupes armés comparaissent depuis le mercredi 12 mars devant la Cour Militaire de l’Ituri.
Cette dernière siège en audience foraine à Tchomia, une localité située à environ 60 kilomètres de Bunia, dans le territoire de Djugu.
Parmi eux, quatre personnes sont accusées de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité à Tchomia.
Dans le cadre de son mandat d’appui à la justice, la MONUSCO accompagne les autorités judiciaires dans la lutte contre l’impunité et le respect de l’autorité de l’État.
Les acteurs de la société civile locale et les défenseurs des droits humains saluent ces audiences qui, selon eux, rapprochent la justice des justiciables.

La multiplication des réunions pour la mise en place des mécanismes pouvant stopper son évolution ont été vaines jusqu’à ce jour.
Mais la société civile s’y oppose.
“Je ne comprends pas pourquoi la société civile refuse cette idée.
En réaction, la société civile, par la voix de Laurent Bweniia, président, dénonce la mauvaise direction que l’argent de la morgue va prendre.
La société civile ne sait même pas où va l’argent que l’actuelle morgue génère.