Après sa rencontre avec Tshisekedi, l’émissaire américain Ronny Jackson reçu par Paul Kagame à Kigali

Cette journée sera consacrée à des activités patriotiques de soutien aux Forces armées de la République (FARDC), dans le cadre de la mobilisation nationale face à la guerre d’agression.
Un fonds de solidarité sera mis en place dans chaque établissement pour recueillir des dons en espèces et en nature, qui seront ensuite remis aux FARDC et aux personnes déplacées par la guerre.
Des conférences, des journées de sensibilisation et des émissions radio-télévisées seront organisées pour informer et mobiliser la population.
La ministre de l’ESU, Marie-Thérèse Somba, appelle tous les acteurs de l’ESU à la vigilance, à la quiétude et à la sérénité, et demande la suspension des mouvements de grève.
Elle souligne l’importance de l’implication de toute la communauté de l’ESU dans ces actions patriotiques, en collaboration avec les gouvernements national et provincial.

Un des moments forts de la cérémonie a été la distribution de vivres en signe de solidarité envers les mères, les femmes et les communautés.
Nathalie Ekumbaki a profité de cette occasion pour rappeler l’importance du rôle des femmes dans la société congolaise.
Nous sommes les piliers de nos foyers, mais aussi les actrices essentielles du développement et du progrès.
Nous sommes prêts à relever les défis et à transformer nos communautés pour construire un Congo fort et un monde meilleur », a-t-elle déclaré.
Marie-Louise Kitenge Kupa, présidente de la Ligue nationale des femmes de l’APP, a lancé un vibrant appel à toutes les femmes de rejoindre le parti et de soutenir ses objectifs ambitieux.

36 enfants en conflit avec la loi, détenus au tribunal pour enfants de Kindu, vivent dans des conditions qualifiées d’infrahumaines.
Jeudi 19 décembre, après une visite dans ce milieu carcéral, il a dénoncé la situation préoccupante de ces enfants.
Des conditions de détention déplorablesRaphaël Upelele, accompagné du directeur de la prison centrale de Kindu, a constaté des conditions de vie déplorables pour ces jeunes détenus.
Il décrit une situation critique :« Nous avons trouvé que ces enfants dorment sur des pavés ou sur des nattes déchiquetées.
»Face à cette situation, l’ONG Haki za Binadam appelle les juges à privilégier des mesures non privatives de liberté, conformément à l’intérêt supérieur des enfants.