Day: March 21, 2025

”, “Briser le poids d’être femme ”, “ Prières pour une femme enceinte ” qui sont disponibles à Kinshasa, ont été rédigés avec minutie et passion, pour inspirer les femmes, les encourager et les accompagner dans leur parcours », a déclaré l’écrivaine Cathy Katanku Mwayuma.
Pour l’auteure, la femme est appelée à faire un meilleur usage de son capital temps pour être plus efficace, mieux s’organiser, fixer les objectifs et les priorités.
Trop souvent, la société, la culture et même certaines traditions religieuses ont enfermé la femme dans des carcans qu’elle n’a jamais choisis.
S’Il l’a créée avec un potentiel, c’est pour qu’elle le libère, pas pour qu’elle le porte comme un fardeau.
Médecin de formation et servante de Dieu, Cathy Katanku Mwayuma est une auteure congolaise de plusieurs livres, notamment :“ Jeune fille, va plus loin dans tes études ”, “ Une femme, une influence ”.

Kinshasa, 21 mars 2025 (ACP).– La chanson « RDC eloko ya makasi », du chanteur congolais Valentino Makanzu, a été décrite comme un hymne qui exhorte la population à garder espoir en dépit des épreuves liées à la guerre, lors d’un entretien vendredi avec l’artiste.
« Dans cette œuvre, nous exhortons les Congolais à ne pas céder au désespoir malgré cette période où le pays subit l’agression de ses ennemis.
« Depuis son indépendance, la RDC a traversé de multiples crises, mais elle a toujours su s’en relever.
» a-t-il ajoutéDans cette composition de plus de trois minutes, l’artiste exprime sa conviction que les ennemis de la RDC cherchent à empêcher son redressement et son développement.
« Il faut que les Congolais se parlent, que personne ne se sente exclu de la vie politique et sociale.

Kinshasa, 21 mars 2025 (ACP).- La femme poétesse en RDC a été décrite comme un talent méconnu en quête de reconnaissance sur la scène poétique par une slameuse congolaise, en marge de la Journée mondiale de la poésie, célébrée le 21 mars, lors d’un entretien vendredi avec l’ACP,« La femme ne s’est pas encore pleinement affirmée dans la poésie contemporaine ou sur la scène poétique dans notre pays, bien qu’elle en ait à la fois la capacité et les moyens.
En plus du manque de reconnaissance dans la poésie, le slam, en tant qu’art encore en pleine promotion, peine lui-même à trouver une place dans le paysage culturel congolais.
« Oui, la poésie et le slam sont de véritables leviers d’émancipation féminine.
« Il faut promouvoir la poésie et le slam féminin en multipliant les espaces d’expression et de diffusion.
Ce thème met en avant l’importance de la traduction et de la diffusion des œuvres poétiques dans des langues moins répandues, favorisant ainsi la diversité linguistique et culturelle.

Kinshasa, 21 mars 2025 (ACP).- Un travail en synergie pour assurer la sécurité de la commune de Kimbanseke, dans l’Est de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, a été recommandé, vendredi, aux autorités de cette municipalité (bourgmestre et conseillers communaux) lors d’un entretien.
Il a évoqué l’un des rôles des élus municipaux auprès de l’exécutif et, par après, l’exécutif ainsi que les stratégies mises en place pour éradiquer l’insécurité à Kimbanseke, notamment la dénonciation des inciviques « kuluna ».
« Nous, comme les élus du peuple, nous connaissons aussi ces inciviques communément appelés +kuluna+ qui sèment la terreur parmi la population parce que chaque jours nous sommes en contact avec ceux qui nous ont élus.
A notre niveau nous sommes en train de faire la sensibilisation, nous exhortons la population à dénoncer les inciviques communément appelés kuluna et nous disons aussi à la population d’être vigilante et de dénoncer tout mouvement suspect dans leurs quartiers auprès des autorités,», a-t-il conclu.
Depuis le mois de février, la sécurité a été rétablie au quartier Mayengele, dans la commune de Kimbanseke, où un centre hospitalier avait été la cible d’une attaque des inciviques, entraînant la fuite de la population environnante.