Tshopo : lutte contre l’insécurité, les numéros de téléphones disponibles (police)

Trente-sept maisons résidentielles et commerciales ont été calcinées à la suite d’un incendie qui s’est déclaré le mardi 24 décembre à Nyabibwe-Centre dans le territoire de Kalehe (Sud-Kivu).
L’incendie a été causé par une batterie d’accumulateur d’énergie, selon le président du bureau de coordination du Cadre de concertation territorial de la société civile de Kalehe, Delphin Birimbi.
« Seize maisons d’habitation ont été calcinées avec tous les biens et 21 maisons commerciales avec toutes les marchandises, y compris le hangar du marché, ont été aussi calcinés.
Six maisons et des bornes fontaines détruites lors de différentes interventions.
Etant donné que cet événement malheureux venait de laisser plusieurs familles sans résidence, nous appelons les gouvernements provincial et national, les différents partenaires et les personnes de bonne volonté à venir en aide à cette population », a plaidé Delphin Birimbi.

« Ces bandits armés, environ neuf, se sont infiltrés dans le camp.
Ils ont maîtrisé les gardiens, volé une arme à feu, et savaient précisément où se trouvait l’argent.
Ces derniers jours, un climat de méfiance s’est installé entre les communautés locales et les exploitants miniers étrangers opérant sous couvert de coopératives minières.
Les accusations à leur encontre incluent la destruction de l’environnement, le mauvais traitement des travailleurs congolais, et des pratiques jugées illégales.
Il a accusé cette dernière de fausses déclarations, de complicité dans le pillage des ressources naturelles et de destruction environnementale.

2024-12-312024-12-312024-12-312024-12-31Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/30-31/les_adf_en_ituri_31_dec_2024.jpgUne nouvelle tragédie a frappé la province d’Ituri, où des civils enlevés par les terroristes des Forces Démocratiques Alliées (ADF) ont été découverts morts dans la forêt de Kimautu.
Selon la Convention pour le Respect des Droits Humains (CRDH), ces corps, en état de décomposition avancée, témoignent de la brutalité des actes commis par ces groupes armés.
D’autres victimes dans la forêtEn outre, des corps supplémentaires ont été localisés dans la forêt d’Apakola, à environ cinq kilomètres de la route nationale numéro quatre.
Cette situation soulève des inquiétudes quant à l’ampleur des enlèvements et des meurtres perpétrés par les ADF, qui continuent d’instaurer un climat de terreur dans la région.
La CRDH avait déjà alerté les autorités sur la présence des ADF dans la chefferie des Walese-Vonkutu, territoire d’Irumu, le même jour où ces terroristes ont été aperçus.