Départs de 3 pays africains de l’OIF : Mélenchon charge Macron et la rwandaise Mushikiwabo

Le Vice-premier ministre, ministre de la défense nationale et anciens combattants Guy Kabombo Muadiamvita a présidé la cérémonie du baptême et du commissionnement du Patrouilleur haute mer PHM- 142, baptisé “ALTERNANCE PACIFIQUE DU 24 janvier 2019″.
À l’en croire, accorder une grande importance à la force navale permet au pays de lutter efficacement contre la pêche illégale, trafic des êtres humains et tant d’autres.
Ses missions englobent la surveillance des côtes et la lutte contre les activités illicites telle que la pêche illégale, la contrebande, la piraterie, le trafic des êtres humains, la pollution maritime, la contribution au maintien de la paix dans la sous-région.
Pour remplir ces missions, la force navale devrait disposer des moyens conséquents et participer ainsi à la défense de l’intégrité territoriale”, a indiqué le VPM, ministre de la défense nationale et anciens combattants.
Cette acquisition au profit des Forces Armées de la République Démocratique du Congo intervient dans un contexte marqué par la guerre d’agression rwandaise via la rébellion du M23.

Le procès entre la RDC et le Rwanda sur les exactions et autres crimes imprescriptibles commis dans les provinces de l’Est de la RDC s’est ouvert ce mercredi 12 février 2025, à Arusha, en Tanzanie, devant la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP).
Première à prendre la parole, la partie requérante, la RDC, a présenté les faits de sa requête avec plusieurs pièces à l’appui.
Il a demandé que la requête de la RDC soit rejetée parce qu’elle ne relève pas, selon lui, de la compétence de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples.
C’est après cette étape liée à la forme que la Cour va aborder le fond de l’affaire, les faits.
Notons que la RDC s’est bien préparée pour ce procès.

En effet, le tribunal a accordé samedi dernier un mandat pour prolonger la détention du président destitué Yoon Suk-yeol, causant ainsi les manifestations des centaines de personnes pro Yoon.
M. Choi a souligné que tous les arguments devaient être présentés démocratiquement, conformément à la Constitution et aux lois, quelles que soient les circonstances, ajoutant que la violence ne ferait qu’aggraver les conflits et les confrontations au sein de la société.
Des actes de violence ont éclaté après que le tribunal de Séoul a émis, tôt dimanche, un mandat d’arrêt d’une durée maximale de 20 jours à l’encontre de M. Yoon.
Certains partisans de ce dernier ont pris d’assaut le bâtiment du tribunal en brisant des fenêtres, vandalisant les installations à l’intérieur du tribunal et attaquant des policiers.
M. Yoon, qui a été désigné par les services d’enquête comme meneur présumé d’une insurrection, a déclaré la loi martiale dans la nuit du 3 décembre, révoquée par l’Assemblée nationale quelques heures plus tard.