« Accepter de négocier avec le M23, c’est légitimer l’agression », s’écrie Issongo

À l’en croire, l’Udps n’a aucune raison de mettre en place une milice.
« En effet, l’Udps comme parti au pouvoir n’a aucune raison de mettre en place une milice », dit-il.
Il renchérit son propos en soulignant qu’il s’agit des ennemis de l’Udps qui veulent complètement salir l’image du parti au pouvoir.
« Nous savons que les ennemis du parti sont déterminés à vouloir ternir l’image de l’Udps et son secrétaire général depuis le lancement de la campagne sur la vision du chef de l’État pour le changement de la Constitution », poursuit-il.
Néanmoins, Kabuya s’est déterminé à poursuivre le combat du changement de la Constitution et s’engage à saisir l’auditorat militaire aux fins de l’identification des auteurs de ladite vidéo, du lieu de son enregistrement et de l’arrestation.

Dans ce contexte, l’ancien VPM de la défense a ouvertement accusé l’ex chef de l’État, Joseph Kabila, d’être derrière l’insécurité qui sévit dans le grand Bandundu, exacerbée par le phénomène Mobondo.
Puisque nous avons arrêté ces gens, lesquels nous ont révélé la personne qui finance l’insécurité, qui corrompt et qui tue vos chefs.
Le PPRD, parti de l’ex majorité au pouvoir réfute ces affirmations qu’il qualifie de «diversion » du gouvernement qui n’assume pas ses responsabilités.
Dans un communiqué ce jeudi 27 février, signé par Emmanuel Ramazani Shadary, secrétaire permanent du parti de Joseph Kabila, le PPRD dénonce «la manipulation et l’instrumentalisation de la vérité ».
Et le vrai commanditaire de cette opposition c’est mon prédécesseur, c’est Joseph Kabila.

Depuis sa création en 2006, le Centre Likemo œuvre pour la réinsertion des enfants, en particulier des filles vivant dans la rue à Kinshasa.
Roger Katembwe: Les raisons qui poussent les filles à vivre dans la rue sont multiples et complexes.
Roger Katembwe : L’un des principaux défis pour les jeunes filles ayant vécu longtemps dans la rue réside dans leur stabilisation économique et sociale.
Comment voyez-vous l’évolution des besoins des filles vivant dans la rue au fil des années ?
Tant qu’il y aura des enfants et des familles en souffrance, notre société ne pourra pas réellement prospérer.