Le sommeil et les enfants : pourquoi est-ce important ?

Le vice-gouverneur Eddy Iyeli Molangi a lancé, ce mercredi 8 janvier 2025, la première phase des travaux de réhabilitation de l’avenue Kasa-Vubu, une des artères les plus empruntées de Kinshasa.
Cette étape initiale comprend le délogement des vendeurs clandestins, le curage des caniveaux et l’évacuation des immondices accumulées au fil du temps.
Longue de 15 kilomètres, l’avenue Kasa-Vubu traverse sept des 24 communes de Kinshasa : Bandalungwa, Ngiri-Ngiri, Kalamu, Kasavubu, Kinshasa, Lingwala et Gombe.
Le délogement des vendeurs et le nettoyage des infrastructures marquent un tournant dans le projet de réhabilitation.
Toutefois, le succès de ce projet dépendra largement de la capacité des autorités à maintenir l’ordre et à empêcher la réinstallation des vendeurs clandestins.

« 262 ménages de la commune de Matete ont été inondés par les eaux de pluie au cours du mois de décembre 2024.
Les quartiers victimes de cette catastrophe sont notamment Totaka et Vivi, et les localités touchées sont respectivement Batende, Kinda, Kinsaku et Ngufu », a-t-il ajouté.
Il a à cette occasion sollicité l’implication des autorités compétentes pour une assistance des victimes.
« Nous demandons aux autorités compétentes d’apporter leur assistance ainsi qu’un soutien à tous ces ménages victimes de cette catastrophe.
Ce sable qui était emporté par la pluie provenait de la commune de Kinsenso, signale-t-on.

Ces militants, présentés comme membres du parti présidentiel UDPS, sont à la base, d’après Lamuka, d’importants dégâts observés ces derniers jours dans la ville de Kinshasa.
La coalition Lamuka charge, enfin, son avocat-conseil à saisir les instances compétentes, pour que la justice soit rendue à l’AddCongo et à son président national ainsi qu’à tous les militants.
En dehors du chef de l’État, l’agenda du procureur général de la CPI prévoit également des échanges avec d’autres personnalités ainsi que des victimes de guerre.
Faut-il signaler que les crimes de guerre et d’agression relèvent du ressort de la Cour pénale internationale.
La RDC a ratifié le Statut de Rome en avril 2002, et, en mars 2004, a renvoyé à la CPI la situation qui prévaut sur son territoire depuis le 1ᵉʳ juillet 2002.