Dialogue direct RDC-M23 : Kinshasa propose Sahle-Work Zewde comme co-facilitatrice du processus de paix

Le comité international de la croix a procédé à la réhabilitation de deux bâtiments à l’hôpital général de référence de Bukavu pour recevoir les blessés de guerre en provenance du Nord-Kivu et des territoires de la province du Sud-Kivu.
Les travaux ont consisté entre autres, à la réhabilitation des toitures, des circuits électriques, du réseau d’eau potable, des murs extérieurs, des latrines et tant d’autres.
Depuis l’intensification des combats entre les FARDC et les rebelles du M23 au Nord-Kivu, le nombre des admissions a augmenté à l’hôpital général de référence de Bukavu.
Cette amélioration permet aussi le désengorgement de l’hôpital de Ndosho (Goma) qui transfère les blessés de guerre à Bukavu.
Certains viennent du Nord-Kivu et d’autres sont des victimes de l’insécurité urbaine à Bukavu.

Guy Kabombo Mwadiamvita a précisé que les moyens nécessaires sont disponibles pour la prise en charge de ces nouvelles recrues.
“Merci beaucoup parce que vous avez prouvé que vous êtes des patriotes et vous avez suivi le mot d’ordre du chef de l’État.
J’étais venu ici pour vous sensibiliser, mais j’ai trouvé que vous vous êtes déjà fait enrôler.
Je laisse les moyens, avant samedi, vous devez être à Kinshasa pour aller dans les centres de formation”, a déclaré le ministre de la Défense lors d’un meeting populaire au stade Kanzala à Tshikapa.
Il convient de noter que plus de 1.000 jeunes de la province du Kasaï se sont enrôlés dans les rangs des Forces armées de la République démocratique du Congo dans la ville de Tshikapa.

Kinshasa, 19 décembre 2024 (ACP).- La nécessité de créer une loi sur les violences domestiques en République démocratique du Congo a été abordée jeudi à Kinshasa, au cours d’une table ronde organisée par l’Ong « Solidarité féminine pour la paix et le développement intégral (Sofepadi) ».
Mme Lusenge a, à cette occasion, invité l’assistance à participer activement aux discussions, à partager leurs expériences et à poser des questions, car, chaque voix compte, et chaque idée peut contribuer à forger un avenir meilleur pour la RDC.
« Il est donc impératif que des mesures concrètes soient prises pour lutter contre ce phénomène.
Nous avons la responsabilité collective de mettre fin à cette tragédie qui détruit des vies et fragilise notre société.
Mesdames et messieurs, Il est temps de dire ‘’non’’ à la violence sous toutes ses formes.