Campagne “Congolais Telema” : reçus par Muyaya, des jeunes de Butembo-Lubero plaident pour un soutien aux médias locaux

« (…) ils ont été renforcés sur le compostage, le biopesticide, l’entretien des cultures, les cultures de Tomate, chou, poivron, concombre, pastèque, maïs et soja (du semis à la récolte).
« Pour amener les producteurs agricoles à s’approprier les pratiques agricoles durables, le CIFOR-ICRAF a opté pour l’approche Champ École Paysan (CEP).
Cela a permis aux producteurs agricoles d’identifier et de résoudre les problèmes qu’ils rencontrent dans leurs propres champs », a-t-il ajouté.
Les facilitateurs sont appelés à vulgariser ces techniques auprès des membres de leurs communautés pour améliorer la production agricole et contribuer à la croissance économique locale.
Il a souhaité que les prochaines formations intègrent des participants d’autres territoires afin que la Tshopo, avec ses terres fertiles, devienne un grenier agricole pour le pays.

Dans son discours, Néné Nkulu a appelé les nouveaux adhérents à s’engager pour un Congo nouveau.
« Dans un contexte marqué par les défis socio-économiques et sécuritaires, Madame Nkulu Néné a appelé les nouveaux adhérents à s’engager activement dans la construction d’un Congo nouveau.
Elle a exhorté les militants à dénoncer toute activité subversive et à collaborer avec les autorités pour garantir la sécurité de tous », renchérit la même source.
Pour leur part, les nouveaux adhérents ont salué l’engagement et la vision de Néné Nkulu pour le développement de la République démocratique du Congo.
Les nouveaux adhérents, animés par un idéal de changement et de progrès, sont prêts à relever les défis de l’heure et à contribuer à la construction d’un Congo fort, uni et prospère », fait remarquer notre source.

C’était au cours de la rencontre avec son homologue congolais, Vital Kamerhe, au VIETNAM, en marge de à la réunion de l’APF -Assemblée Parlementaire de la Francophonie-.
Ce dignitaire marocain a souligné, dès lors, l’importance de la solidarité internationale face à des telles atrocités et des violations des droits humains.
Ces échanges très constructifs ont permis aux deux autorités d’aborder plusieurs questions d’intérêt commun, parmi lesquelles celles liées à la sécurité et aux enjeux socio-économiques entre la RDC et le Maroc.
Cette approche vise à renforcer les capacités locales, et à favoriser un développement inclusif, qui bénéficie à l’ensemble de la population.
“Leurs échanges ont également porté sur des thématiques essentielles, telles que l’égalité des genres et l’autonomisation de la jeunesse.