Mwene-Ditu : visite d’inspection des travaux de lutte antiérosive par le DGA de l’OVD

Kinshasa, 8 février 2025 (ACP).- Le Président américain Donald Trump a ordonné samedi le gel de tout financement américain tant que le gouvernement sud-africain ne changera pas son avis sur la loi d’expropriation, ont rapporté les médias internationaux.
« J’ordonne le gel de tout financement tant que le gouvernement sud-africain continue ses pratiques injustes et immorales avec sa loi d’expropriation », a déclaré Donald Trump.
« Cette loi permettra au gouvernement sud-africain de saisir les propriétés agricoles de la minorité ethnique des Afrikaners sans compassion », a-t-il ajouté.
Le milliardaire Elon Musk, né dans ce pays d’Afrique australe et devenu très proche de Donald Trump, a accusé son pays de naissance d’avoir des « lois sur la propriété ouvertement racistes » sur son réseau social X.
Le Président sud-africain, Cyril Ramaphosa, a déclaré jeudi, dans son discours annuel sur l’État de la nation, que son pays « ne se laissera pas intimider ».

Il était question dans cette démarche de rencontrer les acteurs clés du microcosme politique du pays.
Après leur échange avec Martin Fayulu, la délégation conjointe Cenco-ECC dit être sortie avec un coconsensus clair afin de construire la cohésion nationale.
Nous avons mis en exergue nos valeurs Ubuntu pour qu’afin cette crise qui a longtemps durée prenne fin.
Nous parlons d’une crise qui a duré plus de trente ans et qui a fait 10 millions de morts, et qui, fragilise le pays et nous humilie aux yeux du monde”, a déclaré Éric Nsenga.
Et d’ajouter “la consultation est une approche qui nous prépare au Pacte social mais le Pacte en soi n’est pas encore conçu.

Le Gouvernement et les banques commerciales ont signé, mardi 3 décembre à Kinshasa, le contrat de financement des manques à gagner enregistrés par les pétroliers en RDC.
« Ma conviction est que nous allons écrire un nouveau chapitre, maîtriser des pertes et manques à gagner ; articuler nos actions sur la gestion rationnelle des remboursements, gérer de façon transparente de manière qu’on ne retourne plus dans ce système où on laisse s’accumuler les manques à gagner.
Ce qui rendait la tâche difficile à nous tous, pétroliers, logisticiens, les consommateurs et à l’État qui était obligé de mettre la main dans la poche », a déclaré Daniel Mukoko Samba.
Séance tenante, les banquiers ont promis leur disponibilité à payer les manques à gagner avant la fin de ce mois de décembre 2024, après les formalités d’usage.
« Le Gouvernement peut bien compter sur les banques pour la collecte des fonds afin de sécuriser la problématique sur le financement des pétroliers », a assuré la représentante de l’une des banques collectrices, la Rawbank, Gisèle Mazengo.