Guerre en RDC : le président du Sénat met en garde contre les difficultés budgétaires et appelle à la réduction du train de vie de l’État

Après 21 mois de détention provisoire à la prison centrale de Makala, l’opposant Mike Mukebayi est condamné, vendredi 21 février, à 30 mois de servitude pénale, par la cour d’appel de Kinshasa/Gombe pour notamment l’infraction des faux bruits.
Moïse Katumbi, président de Ensemble pour la République, dont Mukebayi est membre, a rejeté cette décision de la justice congolaise.
Il a critiqué une condamnation inique et manifestement politique rendue par une «justice malade ».
Condamné pour avoir dit qu’il n’aura pas d’élections en 2023, sa défense a recouru à l’émission après laquelle il était arrêté, lui et son collègue Daniel Safu.
«Poursuivi pour 5 préventions, je ne m’explique pas la condamnation de notre client à 30 mois de prison pour propagation de faux bruits, infraction politique.

BiographiePhilosophe et théologien, le professeur Kinyongo est né à Sola-Lubombola au Katanga, le 12 mai 1936.
Il a étudié également de 1958-1962 à l’Université Pontificale Urbanienne et à l’Université Grégorienne (Rome), où il avait obtenu des licences en philosophie et en théologie.
Professeur associé depuis 1971, le professeur Jean Kinyongo a enseigné à l’Université de Lubumbashi (Unilu) de 1971 à 1993, et à l’Université de Kinshasa de 1993 à 2024 où il a assuré plusieurs fonctions décanales et académiques.
Il a été aussi conseiller scientifique à la Chaire Unesco à l’Université de Kinshasa.
Le professeur Jean Kinyongo a appartenu à plusieurs sociétés savantes dans le monde et a été auteur de nombreuses publications scientifiques telles que « L’être manifeste.

Outre la question du fichier électoral, le numéro Un de la CENI a évoqué la nécessité d’entamer des réformes électorales en vue de rendre le processus électoral fluide et rationnel.
Cet atelier, dit-il, a permis de tirer des leçons significatives pour l’avenir des processus électoraux en RDC.”
Dans cette perspective, la CENI a formulé une série de recommandations stratégiques visant à encourager le gouvernement et le parlement à adopter des réformes nécessaires pour rationaliser et optimiser le processus électoral.
Et de poursuivre :” Ces réformes visent principalement à réduire les coûts des élections et à moderniser davantage nos processus tout en garantissant l’intégrité électorale, l’inclusion et la transparence.
L’année 2028 sera consacrée à l’organisation du cinquième cycle électoral en RDC.