Day: March 14, 2025

L’objectif est de contribuer à la stabilisation des communautés vulnérables dans l’est, le centre et le nord-ouest de la république démocratique du Congo.
STEP continuera de soutenir la réalisation de cet objectif et mettra à l’échelle un modèle de prestation qui a fait ses preuves en matière de protection des personnes et des communautés pendant les crises et le renforcement de leur résilience.
Pour ce 2e et 3e financements additionnels, la zone d’intervention du STEP concerne différentes provinces parmi lesquelles : (i) Nord-Kivu, (ii) Sud-Kivu, (iii) Ituri, (iv) Kasaï central, (v) Sud-Ubangi et (vi) Nord-Ubangi.
Pendant la période transitoire dont la mise en oeuvre du Projet est confiée à la CSPP, les provinces du ; (vii) Kongo Central, (viii) Kwango, (ix) Kwilu et (x) la ville province de Kinshasa ont intégré le Projet, ramenant ainsi à 9 le nombre des provinces bénéficiaires du Projet.
Les bénéficiaires directs et populations cibles du projet sont des personnes déplacées internes et leurs communautés d’accueil, les jeunes à risque et les femmes dans les communautés relativement stables dans la zone concernée par le projet.

2025-03-142025-03-142025-03-142025-03-14Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/10-16/me_jacob_mbangi_14_mars_2025.jpgDe plus en plus des médias congolais commencent à recourir à l’intelligence artificielle (IA) pour produire du contenu destiné à la consommation de leur public.
En effet, il est devenu courant que les médias congolais recourent à l’utilisation, soit des images générées par l’IA soit carrément des réponses générées par l’IA aux différentes thématiques posées par les journalistes afin de produire du contenu et les diffuser avec très peu d’intervention humaine.
Un travail normalement réservé à plusieurs personnes, peut ainsi être effectué par une seule personne aidée par la technologie !
Il sied aussi de signaler que, puisque aucune loi spécifique ne régule l’usage de l’IA dans les médias congolais, le CSAC ne peut sanctionner un média à cause de l’utilisation de l’IA !
l’État est aussi appelé à pousser les sectoriels à renforcer la supervision humaine des contenus générés par IA mais surtout à imposer des règles strictes sur l’usage de l’IA dans la production journalistique.

2025-03-142025-03-142025-03-142025-03-14Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/10-16/archeveque_general_ejiba_yamapia_president_de_l_eglise_de_reveil_au_congo_14_mars_2025.jpg« La vérité est que Monseigneur Nshole et le révérend Éric Senga dans leur conscience savent que Monseigneur Nshole a bel et bien prononcé ces paroles.
Il a dit : tout ce que nous faisons, nous le laisserons sur la table de celui qui viendra », martèle-t-il.
En ce qui concerne son adhésion à l’initiative du tandem CENCO-ECC, il indique que « nous ne jugeons pas qu’est-ce qui est sérieux ou qu’est-ce qui ne l’est pas.
Tout ce qui peut contribuer à la paix et à la cohésion nationale est une bonne idée, mais nous, nous avons notre propre initiative.
Même ceux qui ne sont pas à la base de l’initiative, sont les bienvenus dans le directoire, dans la coordination.

Dans un communiqué ce jeudi 13 mars, Médecin sans frontières (MSF) annonce qu’il met fin à son appui à l’hôpital général de référence de Virunga pour la prise en charge au profit de blessés, victimes des affrontements liés à la guerre du M23/AFC à Goma, chef-lieu du Nord-Kivu.
Nous avons effectué 333 interventions chirurgicales », a dit Dr Maria Mashako, coordonnatrice médicale de MSF en RDC.
Selon un chronogramme publié par cette ONG humanitaire internationale, le désengagement complet interviendra à la fin du mois, soit le 31 mars.
En attendant, dès ce samedi 15 mars, il est prévu la fin de l’appui à la prise en charge gratuite de nouveau cas de trauma/blessé ensuite, entre les 16 et 30 mars, il y aura la continuité du support à la prise en charge gratuite des blessés encore en hospitalisation.
C’est depuis le mois de janvier que les équipes de MSF soutiennent l’hôpital général de référence de Virunga dans la prise en charge gratuite des blessés.

La haute cour militaire a débuté ce jeudi 13 mars 2024 le procès des militaires et policiers poursuivis notamment pour des actes de lâcheté devant l’ennemi et de violation des consignes lors de la prise de la ville de Goma par les rebelles de l’AFC/M23.
Au cours de cette audience qui s’est tenue en présence du Ministre de la justice Constant Mutamba, la haute cour militaire a procédé à l’identification des prévenus, avant la lecture de l’acte d’accusation.
Il est concrètement reproché aux prévenus de s’être rendus coupables de lâcheté devant l’avancée des rebelles du M23/AFC en prenant fuite après s’être emparé d’un bateau, laissant ainsi les troupes sans commandement.
Pour le général Alengbia Nyitetesia, il lui est en plus reproché la perte de l’approvisionnement et de l’armement lors de l’avancée des rebelles en date du 26 janvier 2025 et aussi l’incitation des autres prévenus à commettre des actes contraires aux devoirs et à la discipline.
Le commissaire divisionnaire Ekuka Lipopo, est aussi poursuivi pour avoir occasionné la perte d’un aéronef appartenant à l’armée congolaise lors des avancées des rebelles du M23/AFC.

Face à l’escalade des tensions dans la région de Walikale, la société Alphamin Bisie Mining (ABM) a annoncé la suspension immédiate de ses activités d’exploitation minière à partir de ce vendredi 14 mars, en raison des risques croissants pour la sécurité de son personnel.
Cette décision fait suite aux derniers développements liés aux affrontements violents entre les rebelles du M23 et les forces coalisées des FARDC et des milices wazalendo.
La sécurité des travailleurs, des clients et des partenaires étant la priorité absolue de l’entreprise, un plan d’évacuation a été mis en place.
Bisié se trouve à 60 km de Walikale-centre et à 32 km de la route nationale reliant Walikale et Kisangani.
Le projet Bisié est un partenariat entre Alphamin Resources, le gouvernement de la RDC et le sud-africain Industrial Development Corporation (IDC).

Dans un communiqué ce jeudi 13 mars, Médecin sans frontières (MSF) annonce qu’il met fin à son appui à l’hôpital général de référence de Virunga pour la prise en charge au profit de blessés, victimes des affrontements liés à la guerre du M23/AFC à Goma, chef-lieu du Nord-Kivu.
Nous avons effectué 333 interventions chirurgicales », a dit Dr Maria Mashako, coordonnatrice médicale de MSF en RDC.
Selon un chronogramme publié par cette ONG humanitaire internationale, le désengagement complet interviendra à la fin du mois, soit le 31 mars.
En attendant, dès ce samedi 15 mars, il est prévu la fin de l’appui à la prise en charge gratuite de nouveau cas de trauma/blessé ensuite, entre les 16 et 30 mars, il y aura la continuité du support à la prise en charge gratuite des blessés encore en hospitalisation.
C’est depuis le mois de janvier que les équipes de MSF soutiennent l’hôpital général de référence de Virunga dans la prise en charge gratuite des blessés.

La haute cour militaire a débuté ce jeudi 13 mars 2024 le procès des militaires et policiers poursuivis notamment pour des actes de lâcheté devant l’ennemi et de violation des consignes lors de la prise de la ville de Goma par les rebelles de l’AFC/M23.
Au cours de cette audience qui s’est tenue en présence du Ministre de la justice Constant Mutamba, la haute cour militaire a procédé à l’identification des prévenus, avant la lecture de l’acte d’accusation.
Il est concrètement reproché aux prévenus de s’être rendus coupables de lâcheté devant l’avancée des rebelles du M23/AFC en prenant fuite après s’être emparé d’un bateau, laissant ainsi les troupes sans commandement.
Pour le général Alengbia Nyitetesia, il lui est en plus reproché la perte de l’approvisionnement et de l’armement lors de l’avancée des rebelles en date du 26 janvier 2025 et aussi l’incitation des autres prévenus à commettre des actes contraires aux devoirs et à la discipline.
Le commissaire divisionnaire Ekuka Lipopo, est aussi poursuivi pour avoir occasionné la perte d’un aéronef appartenant à l’armée congolaise lors des avancées des rebelles du M23/AFC.

Initialement prévue le vendredi 28 février dernier à Harare, au Zimbabwe, la réunion des ministres des Affaires étrangères de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) et de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) est reprogrammée pour ce lundi 17 mars 2025.
“Tous les ingrédients sont donc réunis pour une solution politique au conflit dans l’est de la RDC, à condition que la bonne foi, la volonté politique et le bon sens prévalent à Kinshasa.
Parallèlement à cette démarche du sommet conjoint SADC-EAC, des “négociations de paix directes” vont avoir lieu entre Kinshasa et la rébellion du M23, mardi 18 mars 2025.
L’Angola, pays médiateur dans le conflit dans l’Est de la République démocratique du Congo, a annoncé, mercredi 12 mars 2023, le début de négociations de paix directes.
La République démocratique du Congo confirme avoir reçu l’invitation de l’Angola pour participer au dialogue direct avec les rebelles du M23 à Luanda.