La SAMIDRC met fin à sa mission en RDC et ordonne le retrait progressif de ses troupes

Que faut-il faire pour faire reconnaître le génocide congolais ?
« Les points d’entrées, selon lui étaient la frontière rwandaise aux bornes 11,12 et 13 puis par la petite barrière.
Jusqu’à quel degré de cruauté reconnaîtra-t-on le génocide commis par l’armée rwandaise sur le sol congolais ?
Pourquoi le monde entier se fait rouler par le chef de l’Etat rwandais Paul Kagame qui verse continuellement le sang à la dimension d’un fleuve sans qu’aucune âme ne soit sensible ?
Qu’attendez-vous de l’ONU qui est très sensible à la dégradation de la situation sécuritaire de l’Est de la RDC ?

2025-02-182025-02-182025-02-182025-02-18Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/17-23/angola_a_luanda_felix_tshisekedi_echange_avec_joao_lourenco_sur_la_deterioration_acceleree_de_la_situation_securitaire_dans_l_est_de_la_rdc.jpgLe Chef de l’État, Félix Tshisekedi a été reçu dans la matinée de ce mardi 18 février à Luanda par son homologue angolais, João Lourenço.
D’après la presse de la Présidence de l’Angola, il s’agit d’une diligence diplomatique à la lumière des événements récents qui se passe tant sur le terrain (la détérioration accélérée de la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC) qu’au niveau politico-diplomatique, la réunion du Conseil de paix et de sécurité vendredi dernier à Addis-Abeba, en Éthiopie est mise en lumière.
D’après le ministre des Affaires étrangères de l’Angola, Tete António, qui a fait la restitution à la presse, la rencontre entre les deux chefs d’États, a porté sur l’évaluation de l’évolution de la situation sécuritaire dans la région orientale de la RDC à Addis-Abeba qui soulève la question de savoir quelles mesures prendre après les déclarations faites.
Une rencontre qui se tient dans un contexte où les actions militaires se sont intensifiées ces dernières semaines dans la partie Est de la RDC avec les rebelles du M23 qui gagnent du terrain.
En plus d’être le médiateur nommé par l’Union Africaine pour le conflit entre la RDC et le Rwanda, le président Angolais, João Lourenço est, depuis samedi dernier, président en exercice de l’Union africaine, avec un mandat prorogé jusqu’en février 2026.

Les travaux de la réunion conjointe du Conseil des ministres de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) et la Communauté de l’Afrique de l’Est (CAE) se sont ouverts ce vendredi 7 février 2025 à Dar-es-Salaam en Tanzanie pour discuter de la situation sécuritaire dans la partie orientale de la République démocratique du Congo.
Prenant la parole, Amon Murwira est revenu sur l’importance des efforts conjoints, politiques et diplomatiques, pour que la normalité prévale dans l’est de la République Démocratique du Congo.
“Il est regrettable que la crise sécuritaire et humanitaire dans l’Est de la RDC continue de se détériorer malgré les nobles efforts déployés dans le cadre des processus de Luanda et de Nairobi.
Il est déchirant de constater que près de 400 000 personnes ont été déplacées dans la ville de Goma, rien que cette année”, a déclaré le professeur Murwira dans des propos rapportés par la source citée.
Le sommet conjoint de Dar-es-Salaam, qui réunit les chefs d’État de la CAE et de la SADC, est attendu comme un moment clé dans la gestion de cette crise qui oppose la RDC et le Rwanda sur la présence de l’armée rwandaise et du M23 sur le territoire congolais.