Pourtant, monseigneur Nzinga Maluka Simon, poursuit ce document, aurait pris les rênes de l’organisation sans remplir cette condition.
“Il a su manipuler les évêques et les révérends pour se faire élire président et représentant légal, alors qu’il ne dirige aucune Église indépendante”, dénonce monseigneur Ruffin Mayele.
Cette situation a accentué les tensions au sein de l’organisation, alimentant des soupçons sur la gestion des ressources et des biens sous son mandat.
“Au regard des faits, la place de Monseigneur Nzinga est en prison”, affirme sans détours Monseigneur Ruffin Mayele, rapporteur principal de l’UEIC.
Grâce aux efforts du nouveau président et du représentant légal, un arrêté officiel a été obtenu, validant les décisions du 43ᵉ synode et annulant toutes les dispositions prises sous l’ancien régime.
Author(s): 7sur7.cd
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