La RDC affiche un taux de 7,9% de croissance en 2024

Selon des témoignages recueillis, le M23-AFC, groupe armé soutenu par le Rwanda, transforme les toilettes et fosses septiques des camps de déplacés en fosses communes, jetant les corps des victimes dans des conditions inhumaines.
“Après que nous ayons fini l’enterrement au cimetière ITIG, dans des fosses communes bien-sûr, nous sommes allés nous occuper des autres cadavres vers Mugunga, Kasengesi, Sake et Mubambiro”, témoigne une source locale sous couvert d’anonymat.
“Les hommes armés de Corneille Nangaa nous ont pris de force, pour aider les volontaires de la Croix-Rouge qui transportent des morts par-ci, par-là; et, malheureusement, nous ont obligés à les jeter dans les toilettes des sites des déplacés.
Et la Croix-Rouge et nous étions obligés de le faire, armes à la tête”, raconte un jeune homme de 24 ans.
Le traitement des corps des victimes est une violation flagrante des droits humains et du droit international humanitaire.

2025-01-282025-01-282025-01-282025-01-28Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/27-31/Therese_Kayikwamba_Wagner_briefing_240.pngLe Gouvernement congolais a exprimé, mardi 28 janvier, ses regrets à la suite des actes de vandalisme que les manifestants aient commis contre les locaux de certaines représentations diplomatiques, basées à Kinshasa.
Il a cependant assuré avoir pris les mesures pour garantir la protection des missions diplomatiques et leurs biens.
Dans ce message, le gouvernement a dit être préoccupé des manifestations déclenchées dans la capitale et à travers le pays à la suite de l’agression rwandaise.
Le Gouvernement congolais dit multiplier les efforts pour renforcer les dispositifs sécuritaires malgré la consternation de la population.
Le ministère des Affaires étrangères a en outre invité le personnel diplomatique et étranger à la prudence et à la retenue en cette période et leur remercie et renouvelle les assurances de sa haute considération.

L’autorité urbaine accuse les membres de cette association d’avoir organisé une caravane de protestation contre la perception de la taxe de stationnement, sans respecter la procédure normale.
Elle souligne par ailleurs que cette ASBL est devenue un groupe d’inciviques qui luttent contre la culture fiscale dans la ville.
Ce qui préjudicie les efforts de la mairie dans la maximisation des recettes.
Le maire de la ville de Mwene-Ditu a également enjoint différents services étatiques, “chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sort ses effets à la date de sa signature”.
Benjamin Kambadi, à Mwene-Ditu