Kongo Central : « La tenue des réunions des comités provinciaux de sécurité, une obligation » (Vice-Premier ministre de l’Intérieur)

Voilà les questions dont les réponses constituent, selon Prince Epenge, les trois vérités que le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a manqué de dire aux Mbuji-Mayiens.
La réaction de Prince Epenge présente le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo comme un voleur qui crie au voleur.
“Le voleur crie pour que le volé tremble”, dit un proverbe libanais.
Pour ce porte-parole de Lamuka, plateforme politique de l’Opposition, le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a plutôt manqué de dire trois vérités aux enfants de Mbuji-Mayi.
Les réponses aux questions pertinentes de Prince Epenge constituent les trois vérités que le Président Félix Tshisekedi a manqué de dire aux Mbuji-Mayiens.

2025-03-032025-03-032025-03-032025-03-03Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/3-9/tshisekedi_felix_et_adama_dieng_ua_03_mars_2025_ks.jpgL’Union africaine s’engage désormais dans la quête de la paix dans la partie Est de la République démocratique du Congo, théâtre des affrontements entre les rebelles du M23 et les Forces armées de la RDC (Fardc).
Pour ce qui concerne la RDC, l’envoyé spécial de l’Union africaine exige au chef de l’État Félix Tshisekedi de dialoguer directement avec les rebelles du M23 afin d’éviter l’expansion exponentielle des hostilités à travers le pays et dans la région du Grands lacs.
« Félix Tshisekedi doit accepter le dialogue direct avec le M23 », a déclaré l’envoyé spécial de l’UA Adama Dieng.
De son côté, Félix Tshisekedi reste ferme à sa décision de non dialogue avec le M23 et suggère que c’est seulement avec le Rwanda comme commanditaire qu’il va discuter.
Une situation qui devient de plus en plus inquiétante dans la région.

La situation humanitaire à Goma, à l’est de la République démocratique du Congo, s’est détérioré alors que les Nations Unies signalent des pertes humaines massives et un impact dévastateur sur les populations civiles.
Ces chiffres ont été recueillis à l’issue d’une évaluation menée conjointement avec le gouvernement congolais et devraient encore augmenter à mesure que les informations se précisent.
Les équipes humanitaires ont constaté que les services de base, tels que l’accès à l’eau potable et aux soins de santé, restent fonctionnels, mais dans des conditions extrêmement précaires.
Il est urgent que l’accès humanitaire soit garanti afin de permettre la prise en charge des blessés et l’assistance aux populations déplacées”, a déclaré Stéphane Dujarric.
L’ONU poursuit ses efforts pour mobiliser la communauté internationale face à cette crise humanitaire d’envergure et appelle toutes les parties à garantir la protection des civils et l’accès aux services de première nécessité.